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L'imitation est une forme de flatterie. mortelle.
Quand Jonathan Hall abandonne sa carrière internationale de voleur d'art pour se consacrer à sa fille, il croit se ranger définitivement et se mettre à l'abri - de sa fausse identité de Monarque, de l'illégalité. et d'une mort prématurée.
Une série de meurtres l'oblige à reconsidérer ses perspectives. Car quelqu'un s'est mis à utiliser la signature du Monarque - un papillon - pour mutiler ses victimes et orchestrer des mises en scènes morbides. Pour Jonathan, il ne s'agit pas d'une simple imitation, mais d'un message : on cherche à le faire sortir du bois. Lui, mais aussi son ancien partenaire, Lew.
Piégés dans un jeu mortel par un adversaire psychopathe et infiniment puissant, Jonathan et Lew n'ont pas d'autre choix que de disputer la partie. Et d'accepter une ultime mission signée Le Monarque.
Tension et rebondissements - un roman à grand spectacle, que les amateurs ne pourront pas lâcher.
Trois meurtres à New York. Trois victimes dont le cadavre a été marqué d'un dessin, un monarque stylisé, l'emblème d'un mythique redresseur de torts. L'homme pillait les réserves de collectionneurs véreux pour rendre les œuvres d'art volées à leur légitime propriétaire.
Le Monarque a cessé d'agir depuis des années. Le FBI et Emily Burrows, qui a consacré sa vie à enquêter sur le voleur de voleurs pour en faire un roman, sont convaincus que le triple meurtre a pour objectif de le faire sortir de l'ombre. Mais pourquoi ?
L'introduction de l'intrigue et la présentation des personnages principaux sont intéressantes. Hélas, on tombe rapidement dans l'invraisemblable (un tube contenant un tableau volé enfilé dans l'appareil digestif d'un cadavre ! Un binôme de redresseurs de torts aussi solide qu'un Schwarzenegger dans Terminator 2) avant de sombrer dans le grotesque (les motivations de celui qui tire les fils ; les prouesses de la chercheuse qui, seule dans son labo sur une île isolée, a réussi à mettre au point le sérum qui...)
Les personnages ont du caractère, mais sans nuance : les méchants sont très retors et/ou violents ; les bons trop gentils et/ou chanceux. On ne s'étonnera pas qu'à la fin, les premiers soient tous décédés, de mort violente évidemment, et les seconds heureux et se préparant presque tous à faire beaucoup d'enfants. Il faudra pour s'en assurer lire une suite que le final annonce assez clairement.
Heureusement, l'écriture sauve l'édifice. La construction du roman d'abord, avec la multiplication des points de vue et des scènes d'action (si j'ai cité Terminator 2, ce n'est pas par hasard) ; tout est fait pour retenir l'attention du lecteur. Le style ensuite, simple, sans fioritures ni recherche d'effets. Cela permet de passer de bons moments de lecture-détente, comme ce fut mon cas au cours d'un déménagement-emménagement pour travaux particulièrement éprouvant.
Un thriller que j'oublierai sans doute au premier battement d'aile d'un papillon.
Chronique illustrée : http://michelgiraud.fr/2023/02/28/le-monarque-jack-soren-mosaic-a-oublier-dun-coup-daile-de-papillon/
Jouer le Monarque, c'est terminé depuis longtemps pour Jonathan et Lew. L'un passe un petit séjour en prison, l'autre élève sa fille de onze ans. Tous les deux se sont perdus de vue depuis quelques années. Mais un tueur en série à New York remet tout en cause. Un tueur en série qui imite le Monarque. de manière beaucoup plus sordide, il laisse la marque d'un papillon sur le corps de ses victimes comme le faisait le Monarque, mais dans un tout autre contexte. En effet, le Monarque n'est pas un tueur. Il récupérait des oeuvres volées et les restituait à son propriétaire ou aux musées. le but de cette sanglante mise en scène serait-il de déterrer le vrai Monarque pour le faire payer? Lew et Jonathan repartent pour une aventure dangereuse et pleine de suspense.
Publié dans sa version originale en 2014, c'est le premier roman de l'auteur et c'est une réussite. Une lecture pleine de mystère et de rebondissements et une intrigue superbement bien menée. On suit d'abord plusieurs histoires et plusieurs personnages qui sont finalement liés. Un agent spécial du Fbi, un écrivain qui a fait des recherches approfondies sur le Monarque... Et bien évidemment Lew et Jonathan, d'abord individuellement. le point de vue de leurs adversaires nous sont aussi présentés. le rythme du récit en ressort très dynamique. J'ai ma préférence pour Jonathan et Lew qui forment un duo de voleurs assez intéressant. Des anciens partenaires bien divertissants et authentiques. J'ai beaucoup aimé découvrir comment ils ont commencé à faire équipe et comment ils sont devenus le Monarque.
Dans toute cette histoire, on veut absolument savoir qui veut mettre la main sur le Monarque? Et pourquoi? Les éléments de ce complot nous sont révélés petit a petit et c'est parfaitement bien dosé. C'est complexe et fort intéressant, je me suis régalé. En bref, le Monarque c'est : un thriller très bien écrit et bien développé. Une intrigue superbe autour du vol dans le monde de l'art, mais pas que. Un complot incroyable. Des personnages riches. J'ai adoré ma lecture!
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