Ce road-movie intimiste est l'une des BD à ne pas manquer en cette rentrée
Sollicité par l'éditeur Pierre-Jules Hetzel pour participer à un ouvrage collectif sur Paris et les Parisiens, Le Diable à Paris (1845-1846), aux côtés de Honoré de Balzac, Stendhal ou Charles Nodier, George Sand dresse, à travers trois articles, un portrait au vitriol de la capitale. D'un « Coup d'oeil général sur Paris », elle donne un aperçu saisissant de la ville où se côtoient le luxe et la misère. Elle se révolte contre ces « Mères de famille dans le beau monde » qui batifolent tandis que d'autres tirent le diable par la queue...
Scandalisée par l'exposition des indiens de l'Iowa qui se tient rue Saint-Honoré, elle fait la « Relation d'un voyage chez les sauvages de Paris », qui ne sont bien sûr pas ceux que l'on croit.
À la veille de 1848, George Sand, dont la virulence socialiste désarçonne, se fait ici le témoin militant d'un mond,en pleine évolution.
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