Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Janvier 2011 : le monde découvre un monstre dans ses placards.
Un abominable fossile à figure humaine, prospérant à l'ombre de lois scélérates, un peu partout aux portes de la civilisation, à Tunis, en Egypte, en Libye, en Algérie et peut-être même en Europe...
Le Dernier Soir du dictateur est une pièce où l'imagination abdique devant la réalité. Car rien n'est plus absurde que l'absurdité qui nous frappe.
Le monstre du Dernier Soir du dictateur n'a pas d'âge. Ou alors l'âge de la désespérance humaine. Il n'a pas de visage non plus. Ou alors celui, de la démence qui veut régenter le monde.
Il n'a pas de nom autre que ceux qui pullulent dans nos journaux, pas de pays sinon ceux qui crèvent sous son glaive. Il n'a pas d'avenir, sinon dans la mort, la mort qu'il aime à donner mais qu'il finira par s'offrir, pour emporter avec lui l'idée de la toute-puissance et ne pas vivre en créature abattue par l'étendue de sa propre aliénation.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
Lara entame un stage en psychiatrie d’addictologie, en vue d’ouvrir ensuite une structure d’accueil pour jeunes en situation d’addiction au numérique...
Un douloureux passage à l'âge adulte, entre sensibilité et horreur...