Ce roman est une chronique de la cité, la cité de Paris. Le crime parfait ne fait pas l'apologie du crime, loin de là : il se veut inquiéteur de conscience :
« Que le crime soit parfait ou rattrapé, la prestigieuse loi que gardera la mémoire, quant à l'auteur du crime, est que la vraie victoire c'est le triomphe sur soi eu égard à la vérité de l'innocence. Car seule l'innocence a les mains propres et la conscience tranquille tels qu'en nous-mêmes la vertu et la bonté, valeurs du monde civilisé, nous transfigurent en dépit des âmes damnées, invétérées dans l'obscurantisme et la perdition ».
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