"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Festival de Cannes, 1949. Dans sa suite du Carlton, Orson Welles est visé par un tireur. La balle l'a frôlé avant de briser un miroir. Mais qui peut en vouloir au réalisateur de Citizen Kane ? Pour assurer sa sécurité et démasquer le coupable, Orson engage Jérôme Dracéna, un détective privé cinéphile, aussi à l'aise sur un ring de boxe que devant une caméra. La Croisette et ses vedettes, Paris et ses pièges, des starlettes dangereuses et des producteurs à gros cigares... L'Assassinat d'Orson Welles nous plonge dans le monde pittoresque du cinéma de l'époque. Et la fiction est ici encore plus réelle que la réalité. Ce que va découvrir Jérôme Dracéna en essayant d'entrer dans la tête d'Orson Welles, génie romanesque et grand maître de l'illusion.
Journaliste pour Paris Match, L'Express ou encore Vogue Hommes, Jean-Pierre de Lucovich a longtemps été un « infiltré dans le beau monde ». Après Occupe-toi d'Arletty ! (Plon, prix Arsène Lupin 2011) et Satan habite au 21 (L'Archipel, 2015), il a publié un livre de souvenirs très remarqué, People Bazaar (Séguier, 2016).
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