Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Comme Adamah, le livre précédent de Céline Zins, L'arbre et la glycine place sa méditation sous le signe d'un kô-an : «Être et ne pas être, c'est comme une glycine s'appuyant à un arbre.» Cinq mouvements composent le poème. Les deux premiers scrutent le « lieu d'aurore» que l'on pressent déjà «miné par les temps crépusculaires» ; le troisième introduit la déchirure par le claquement de la question «Et si l'arbre s'abat tout à coup ?» qui mène à la traversée du «corps noir» jusqu'au lent retournement de la question sur son destin. Par fragments brefs ou visions imagées, le lieu, le temps et l'être concentrent leur trame dans le regard de l'expérience intérieure. Expérience de lumière, de douleur et de perte : «Lumière est le verbe d'un lieu disparu.»
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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