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Olivier Perrelet commence l'écriture de son récit alors qu'il se trouve dans une maison de repos pour une durée indéterminée. De son étroite fenêtre, il loue la Nature, son plus cher amour sur laquelle il revient toujours, car rien ne le touche plus que la forêt, les étangs et les oiseaux. Dans ce style qui est le sien virulent, nerveux, parlé et tendre, parfois il se penche sur sa vie, ses démons et ses thèmes favoris jusqu'à l'obsession. Les femmes, leur beauté et leur mystère, les gens qu'il a aimés, qu'il aime encore et ceux qu'il déteste. Caustique plutôt qu'amer, il confie son mépris du monde moderne comme une dernière insolence. Don Juan sarcastique, Olivier Perrelet prétend être indifférent à tout ; pourtant, des aspérités de son dernier opus nous vient l'intuition qu'il n'est, en réalité, indifférent à rien. L'auteur fait très jeune une rencontre déterminante avec l'écrivain André Pieyre de Mandiargues, qui préfacera, d'ailleurs, son premier livre : Les Petites filles criminelles (Mercure de France, 1967). Devenu son mentor, il reviendra toute sa vie sur cette amitié, la seule qu'il ait eue.
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