L'été avance et les chroniques de vos lectures se multiplient !
Alice, 53 ans, fraîchement divorcée, vient de voir sa fille, la petite dernière, quitter la maison. Elle décide d'entamer un nouveau chapitre de sa vie. Elle doit se faire engager comme styliste d'intérieur, son rêve depuis toujours. Mais rien ne se déroule comme prévu, et elle se retrouve vendeuse dans une boutique de déco. Après un week-end de déprime passé à binger sur son canapé, le cheveu gras, elle décide qu'elle alignera sa nouvelle vie sur le mantra de Walter White, le héros de Breaking Bad : « L'ennemi, c'est la peur. » À partir de maintenant, elle sera celle qu'elle n'a jamais osé être : elle-même.
Avec tout l'humour et toute la modernité de son univers, Lisa Azuelos s'empare joliment d'un fait de société... Et si le « nid vide » était le meilleur endroit pour prendre son envol ?
L'été avance et les chroniques de vos lectures se multiplient !
Un roman feel good sur les oiseaux qui quittent le nid...C'est sympa à lire mais ..la vie ne tourne pas toujours aussi facilement du coté positif.
A lire si on a besoin de se changer les idées avec un truc facile.
Alice, 53 ans, voit son quotidien totalement bouleversé suite à son divorce et au départ de ses deux enfants du domicile familial afin de poursuivre leurs études. Pour cette femme qui a consacré ses journées à sa famille et qui se retrouve soudainement seule, c’est un véritable chamboulement. Va-t-elle réussir à reprendre confiance en elle-même et a enfin oser tout ce qu’elle s’est refusé jusque là ? La couverture pastel donne déjà la tonalité tout en douceur de ce roman feel good. C’est un très beau roman qui parle de reconstruction nous est proposé ici. Ce récit a presque des allures de développement personnel. Lisa va rendre un bel hommage à toutes ces femmes qui ont consacré leur vie à leurs familles, et qui se sont retrouvées désœuvrées lorsque tout s’arrête. Au travers d’Alice, le lecteur suivra la reconstruction d’une femme dans une toute nouvelle étape de sa vie, où elle va devoir apprendre à se rénover et à laisser de côté tout ce qu’elle s’est empêchée de faire, sous prétexte de temps. Lisa propose une analyse fine tout au fil des pages et donne matière à la réflexion. Cela débute ne serait-ce qu’avec le titre du livre. Alice va enfin oser s’assumer et se donner les moyens de s’épanouir à nouveau. Surtout, Alice va enfin se consacrer du temps à elle-même. La plume de l’auteure est d’une grande douceur. Sous forme de petits chapitres abordant le quotidien d’Alice et terminant par un petit passage de son journal, la lecture est très abordable et peu se lire de manière segmentée sans gêne.
allez,j'OSE!Petite déception pour ce livre sympathique,vite lu:n'ai pas aimé le mélange des genres!d'un côté,un feel-good pas vraiment accrocheur qui reste dans la superficialité;de l'autre,sous forme de journal,une réflexion comportementale,un "chemin de développement personnel".Si Alice s'avère attachante,mais très en décalage avec les réalités de la vie,on reste sur notre faim...
Au début, je n’avais retenu ce livre sur NetGalley car il me faisait penser à un feel-good, (un de plus dans cette époque bénie du développement personnel), et il y a quelques jours Lisa Azuelos était l’invitée de Claire Chazal dans son émission « Passage des arts » et cette femme m’a plu alors j’ai « osé ».
Alice se retrouve seule à 53 ans : sa fille Chloé vient de partir pour ses études, son fils est très loin lui aussi, et son mari s’est fait la malle pour une femme qui a vingt ans de moins. Elle ne sait plus trop quoi faire de sa vie, se sent inutile, affronte le syndrome du nid vide sous fond de blues.
Son mari, très classe, vient de décider qu’il versera désormais l’argent directement aux enfants et qu’elle devra se contenter des 500 euros que dans grande mansuétude, il veut bien continuer à lui verser. (Sans commentaires !) elle doit donc trouver un travail, se présente pour un emploi de styliste et reçoit deux jours plus tard un courriel lui disant que finalement on n’utilisera pas de styliste, trop cher, mais qu’on lui propose à la place un poste de vendeuse…
Elle décide de ne plus se laisser faire, son amie Mathilde, toxique, égocentrique ne lui étant d’aucun réconfort et décide de se confier à son journal (les vertus de l’écriture thérapeutique ne sont plus à prouver pour tout le monde d’ailleurs, c’est un outil précieux !) avec une idée sympathique parler à son moi : « mon cher moi… ». On va la voir se reconstruire (se construire ?) et trouver sa voie via ses collages.
J’ose faire éclore celle qui s’est tue pendant des années. Je vais OSER dans ce cahier rose. D’ailleurs, oser n’est-il pas l’anagramme de ROSE ?
Il y a quelques épisodes savoureux : son fils Lucas qui vient la voir un week-end en traînant sans sac de linge sale ! non seulement elle n’a rien dit, mais elle a encaissé sans rien dire que les petits plats qu’elle avait mis du temps à lui mitonner, elle devrait les manger toutes seule, monsieur n’est en fait venu chez elle que parce qu’il avait rendez-vous avec des copains !
Un autre savoureux aussi : son mari lui annonce qu’il demande le divorce parce qu’en fait il a une copine, et qu’elle est enceinte et lui demande : « toi qui gardes tout, tu as bien dû garder les vêtements les jouets, poussettes etc. des enfants alors comme ça coûte cher, tu pourrais me les donner », pas mufle du tout ce brave homme.
J’ai bien aimé la manière dont elle oppose le mental qui la pousse à l’auto-sabotage, elle décide de l’appeler Fourcha, en opposition à la petite voix positive qu’elle nomme Raiponce !
L’histoire est sympathique, autant qu’Alice car on peut facilement se reconnaître dans son mode de fonctionnement ou de pensée : qui n’a jamais eu une estime de soi dans les chaussettes me jette la première pierre ! de temps en temps, on a quand même droit à des clichés, mais c’est bien écrit, plaisant à lire.
En fait, la culpabilité que nos parents nous mettent sur le dos, inconsciemment, nous empêche de vivre notre vie.
Je connais Lisa Azuelos, via certains de ses films, notamment « LOL » qui m’avait amusée à l’époque, mais c’est la première fois que je lis un de ses livres, j’ai appris au passage au cours de « Passage des arts » qu’elle était la fille de Marie Laforêt et qu’elle n’avait pas eu une enfance chaleureuse, ce qui explique la lucidité de la réflexion sur le rôle des parents dans la construction de l’estime de soi. Ce roman sent le vécu, l’autoanalyse peut-être…
Un grand merci à NetGalley et aux éditions Belfond qui m’ont permis de découvrir ce roman qui fait du bien au moral dans cette période stressante de confinement, déconfinement, re-confinement et son auteure à la plume alerte, d’où la note….
#LaVieenOse #NetGalleyFrance
https://leslivresdeve.wordpress.com/2020/07/01/la-vie-en-osede-lisa-azuelos/
Alice, 53 ans, voit son quotidien totalement bouleversé suite à son divorce et au départ de ses deux enfants du domicile familial afin de poursuivre leurs études. Pour cette femme qui a consacré ses journées à sa famille et qui se retrouve soudainement seule, c’est un véritable chamboulement. Va-t-elle réussir à reprendre confiance en elle-même et a enfin oser tout ce qu’elle s’est refusé jusque là ?
Je ne connaissais pas la facette d’écrivaine de Lisa Azuelos et c’est donc avec une grande curiosité que je me suis plongée dans les pages de ce roman. Rien que la couverture m’avait déjà convaincue. Et je dois dire que le fond m’a totalement conquise. Quel beau roman de reconstruction nous propose ici Lisa.
Ce récit a presque des allures de développement personnel. Lisa part d’un postulat de départ très simple, mais que j’ai pourtant peu croisé tout au fil de mes lectures. C’est un très bel hommage qu’elle va rendre à toutes ces femmes qui ont consacré leur vie à leurs familles, et qui se sont retrouvées désœuvrées lorsque tout s’arrête.
Au travers d’Alice, le lecteur suivra la reconstruction d’une femme dans une toute nouvelle étape de sa vie, où elle va devoir apprendre à se rénover et à laisser de côté tout ce qu’elle s’est empêchée de faire, sous prétexte de temps. Lisa propose une analyse fine tout au fil des pages et donne matière à la réflexion. Cela débute ne serait-ce qu’avec le titre du livre. Alice va enfin oser s’assumer et se donner les moyens de s’épanouir à nouveau. Surtout, Alice va enfin se consacrer du temps à elle-même.
J’ai beaucoup aimé l’idée du petit journal rose d’Alice, dans lequel cette dernière s’adresse à elle-même, afin de se donner du courage. Cela permet au lecteur une immersion totale et je me suis sentie la spectatrice privilégiée de la reconstruction de cette femme forte et charismatique, mais aussi en proie aux multiples doutes.
La plume de l’auteure est d’une grande douceur. Sous forme de petits chapitres abordant le quotidien d’Alice et terminant par un petit passage de son journal, les pages ont défilé. Je me suis totalement attachée à la protagoniste et je n’aurais pas été contre d’en lire davantage.
Un très beau roman abordant la reconstruction d’une femme. Sous une plume emplie de sensibilité, ce roman aux allures de développement personnel est une véritable réussite. À découvrir.
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