Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
La plainte de Natura qui inspira Jean de Meung pour la deuxième partie du Roman de la rose, est une satire habile des vices de l'humanité. Reprenant sur le ton de la plainte le lieu commun bien connu, Alain dénonce vigoureusement l'étendue du mal en ce bas-monde, la corruption des moeurs. Natura, personnage allégorique, quitte sur son char l'Olympe céleste et apparaît soudain à Alain que la surprise fait s'écrouler en extase mystique. Revenu à lui, il interviewe la semi déesse avec insistance, voulant connaître les raisons qui ont bouleversé, dénaturé l'ordre du monde voulu et agencé par Dieu. Dès lors, l'affaire n'est plus de dénoncer le mal, mais de savoir quelle en est l'origine.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Chacune des deux demeures dont il sera question est représentée dans le sablier et le lecteur sait d'entrée de jeu qu'il faudra retourner le livre pour découvrir la vérité. Pour comprendre l'enquête menée en 1939, on a besoin de se référer aux indices présents dans la première histoire... un véritable puzzle, d'un incroyable tour de force
Sanche, chanteur du groupe Planète Bolingo, a pris la plume pour raconter son expérience en tant qu’humanitaire...
Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !