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Max, un petit gars de banlieue, conducteur grutier à la fourrière, vient d'enlever une voiture sur un emplacement livraison. C'est alors qu'il découvre, sur la banquette arrière, une vieille dame. Faute professionnelle qui risque de causer son renvoi...D'autant plus qu'il la reconnaît : c'est la chef d'entreprise Madeleine Lamor, héroïne de la Résistance, dont la tête orne ses paquets de galettes bretonnes. En pleine crise de confusion mentale, elle le prend pour son amant de 1944 traqué par la Gestapo. Obligé de gérer la situation pour sauver son emploi, Max se retrouve entraîné dans une aventure hallucinante : défendre cette merveilleuse vieille dame, que son neveu tente de rendre folle à coups de médicaments pour s'emparer de ses biscuiteries.Épatée par la manière dont il la prend en charge, Madeleine l'engage comme « personne de confiance ». Du jour au lendemain, il se retrouve décisionnaire au coeur de sa vie, de son entreprise, de sa famille de rapaces. Reste à savoir, comme dit Samira, la voisine de cité qu'il a appelée à la rescousse, si c'est « le kif absolu ou le plus dangereux des pièges »...
Max, un jeune grutier de la fourrière, embarque une rolls.
Mais une vieille dame célèbre se trouvait à l'intérieur.
Une rencontre improbable entre ces deux êtres.
En garde à vue, il explique toute son incroyable aventure à un mutique policier.
Voilà un petit roman rafraîchissant.
La manière de raconter de Max est amusante.
Le tout est bien mené, sympathique.
C'est agréable de temps en temps de tomber sur un roman de pure fiction qui détend.
Décidément cet auteur me plait !
J’ai ri toute seule haut et fort au moins 3 fois dès les premières pages,
bravo!
je pense qu’il est aisé d’écrire pour Didier Van Cauwelaert, si, si,
j’en veux pour preuve sa bibliographie à n’en plus finir!
(tant mieux, nous avons de longues heures plaisantes en réserve)
C’est l’inspiration pour l’intrigue, le sujet ou les détails des personnages qui lui demandent du temps et du travail sans doute, enfin si, avec des doutes sûrement aussi
Mais ensuite son écriture est si fluide, si rondement et généreusement menée que oui, on tombe sous le charme des personnages, -comme sous celui de l’auteur rencontré par bonheur au dernier Festival du livre de Nice : présent et discret à la fois, une douceur dans la voix comme la délicatesse de son écriture, tellement courtois et bienveillant avec son interlocutrice et public comme la politesse de ses personnages..... Bref oui suis sous le charme de celui qui tient la plume,
et comme il ne fait pas du tout son âge !! éternel jeune homme.... pour pas dire BG
L’écriture entretient et nous fait rester jeunes c’est certain m’sieur dames !
Donc celui-ci, le petit dernier “La personne de confiance” si bien d-ecrit à Nice que je n’ai pas hésité à l’acheter et je suis repartie fièrement, avec, après un échange chaleureux et.... une dédicace!
J’en suis à la page 53 et je fais un petit break juste pour ce post, impatiente de retrouver mes personnages attachants aux rencontres improbables pour une intrigue rocambolesque et amusante!!
Cela me rappelle ....
“Jules” et plus récemment “le retour de Jules” comme j’ai ri !! Lisez-les cet été si vous ne les connaissez pas encore, bons moments garantis!
on se retrouve sur INSTAGRAM pour d'autres chroniques de cet auteur
EMMANUELLEM06
Ce roman de Didier Van Cauwelaert n’est pas construit de la même façon que ses derniers (Jules ou Le principe de Pauline). On est à la frontière entre le roman et le monologue de théâtre – d’ailleurs, une adaptation au théâtre serait tout à fait possible. L’auteur réussit à vous impliquer dans cette histoire, où vous avez l’impression d’en être le seul témoin. Le personnage se confie à vous, rien qu’à vous, vous prenant à partie. Un livre qui, au-delà de l’histoire rocambolesque, remet au centre de la discussion les véritables valeurs de l’humain.
"Un roman haletant, jubilatoire, avec un éclat de rire à chaque page et toute l'émotion du monde", dixit la 4e de couverture. Je ne suis pas certain d'avoir lu le même livre ou, alors, j'ai dû quelques fois ne pas le tenir à l'endroit.
C'est vrai que la scène de départ où Max, grutier des fourrières, enlève un véhicule sans se rendre compte qu'une mamie respectable y fait un somme sous l'emprise de médicaments est originale. Si on considère, de plus, que cette vieille dame a sa photo sur tous les bus de la ville, qu'elle dirige une biscuiterie d'intérêt national et qu'elle estime être victime de sa propre famille qui veut la déposséder de la direction et de ses parts dans l'entreprise, il y a de quoi concocter un bon petit roman où opposer la bienveillance des petites gens à la vampirisation des multinationales et à la fourberie des arrivistes familiaux.
Max, bonhomme un peu bonasse a l'humour nécessaire pour aborder la situation, sauver sa place vis-à-vis de son patron dépanneur et endosser le costume de héros que lui taille Mamie gâteau...
Mais tout est tellement loufoque, le titre de résistante de guerre de Mamie, le manque total d'humour du commissaire de police, l'acharnement de la famille contre Max que "trop c'est trop !" Même en période de trêve des confiseurs, le lecteur que je suis n'a pas eu envie de tant de guimauves. Oui, certaines pages sont amusantes. Oui, j'ai lu le roman sans maux de tête. Mais le tout m'est apparu nettement moins bon que "Un aller simple" du même auteur. Ce titre, "La personne de confiance", n'est pas du même niveau. Tout au plus semblable à "Double identité" ou les "Jules".
Un roman à lire pour tuer le temps avec, à la clé, quelques sourires à savourer en cours de lecture. Sans plus!
Une histoire et une écriture bien éloignées de l'écrivain. En lisant ce roman je n'ai pas du tout eu l'impression de lire Didier Van Cauwelaert, auteur et écrivain que j'apprécie depuis ses débuts tant en romans qu'en pièces de théatre.
Le travail de Max consiste à enlever les voitures entravant la circulation et à les emmener à la fourrière.
Sa vie va basculer lorsqu'il va remorquer une superbe voiture aux vitres teintées garée au mauvais endroit.
En effet, sur le siège arrière se trouve une personne âgée endormie qui, lorsqu'il va la secouer pour la réveiller ne prononce que le mot " kanter " ...... pas possible il est tombé sur une mémé en train de cuver et lorsque le portable de la mémé sonne, elle lui demande de répondre et de se faire passer pour le chauffeur.
Mais quand il lit une ordonnance tombée du sac de la vieille il appelle sa voisine qui fait des études de médecin et dont le père est docteur.
Là tout s'enchaine, cette personne n'est autre qu'une femme d'affaires, propriétaire d'une grande marque de gâteaux bretons dont le neveu avec la complicité d'un professeur de médecine, essaie de la faire placer sous tutelle ......
Max et Sam, sa copine vont prendre les choses en main et tenter de tirer Madeleine des griffes de ce neveu un peu trop avide.
Un roman très facile à lire qui ne demande pas trop d'attention ...... et qui amusant ...... mais pas d'une grande littérature ...... dommage .....
Lire un roman de Didier van Cauwelaert, c’est toujours passer un agréable moment où la bienveillance et humanité sont présents! Dans « La personne de confiance », l’auteur fait se rencontrer deux mondes: la jeunesse et la vieillesse, l’ouvrier et la chef d’entreprise, le pas bien riche et la riche. Deux mondes qui se côtoient rarement mais qui, dans ce récit, vont s’unir pour faire valoir des bons droits, les droits de Madeleine. Il y a la fougue de Max, jeune homme avec un petit casier judiciaire, la sagesse de Madeleine, la beauté de Sam et ce trio va devenir inséparable. Max va être la bouée de sauvetage de Madeline et inversement. Les deux vont s’entraider et mutuellement vont obtenir ce qu’ils désirent en fait: Madeleine garder les reines de son entreprise et de sa vie, et Max, l’amour de Sam et une personne qui lui fait entièrement confiance. C’est un beau récit à la fois tendre, actuel, sensible, perspicace!!
Pour la narration, Didier van Cauwelaert a décidément de la suite dans les idées!! En effet, tout est raconté par Max avec son langage de banlieue, son franc parler!! Et en plus, c’est comme un long monologue car il n’y a que Max qui parle. Et il parle avec un policier puisque Max se trouve dans un salle d’interrogatoire afin de raconter tout son histoire: de la mise en fourrière de la voiture de Madeleine à sa présence dans cette salle!! Cela en fait un récit dynamique, rythmé, avec humour et sincérité!
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