Et voici F. et L. - toute l'Italie les connaît sous cette double initiale - à leur affaire : débrouiller un écheveau apparemment farfelu, mais d'une inattaquable logique, comme dans La Femme du dimanche. Comme - et c'est le secret du succès - dans la réalité politique et sociale de l'Italie d'aujourd'hui.
P. J. Franceschini, Le Monde.
Une galerie de personnages inoubliables - flics, curés, gens de lettres, mafieux, businessmen véreux, femmes du monde - qui nous entraînent dans une gigue diabolique, une verve de langage qui aurait ravi Queneau, des trésors d'érudition mêlés aux meilleurs ressorts du roman populaire avec une ingéniosité de grand couturier: tout est poli au petit point pour la satisfaction du gourmand lecteur. Grâce à quoi l'on sort éberlué, épouvanté, abasourdi, bref, heureux, de ce chef d'oeuvre.
Jean-Pierre Zylberstein, Le Nouvel Observateur.
La mise en scène ébouriffée de Fruttero et Lucentini déverse un torrent d'une loufoquerie remarquablement lucide... Vous en sortirez soûlé, abasourdi, content.
Yves Stavrides, Les Nouvelles littéraires.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
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