Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Procrastiner, ne pas travailler, perdre son temps... Inutile de culpabiliser?: « traîner », en fin de compte, c'est déjà philosopher. La vie ordinaire efface le temps perdu : il faut travailler pour vivre, et pour que l'ordre social se maintienne. Perdre son temps devient alors une forme de sabotage. Raison pour laquelle nous ne parlons pas de ce temps que nous perdons, raison pour laquelle aussi le langage ordinaire se prête mal à décrire le temps perdu. Pierre Cassous-Noguès risque donc ici un éloge de l'inactivité, en faisant redécouvrir, à travers une succession de scènes étrangement familières, empreintes d'une absurde drôlerie, plusieurs façons de perdre son temps : la mélancolie, le divertissement, la panne, la procrastination, la flânerie, l'ennui, la rêverie...
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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