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Morguélen. Un nom funèbre pour une île bretonne giflée par les vents.
Un terrain idéal pour la lieutenante Chen, lancée dans une traque sans merci. Dans son viseur : des tueurs à gages insaisissables, les Furies, déesses du châtiment.
Mais à l'heure de la rencontre, la partie pourrait bien compter plus de joueurs qu'il n'y paraît. Et quand le prêtre de cette île du bout du monde entre à son tour dans la danse, une seule certitude demeure : quelqu'un va mourir.
Jeu de miroirs à huis clos, le nouveau roman de Nicolas Lebel entraîne le lecteur dans une course échevelée où tout n'est qu'ombres et reflets. Porté par l'humour et l'ingéniosité inégalables du lauréat du Prix des lecteurs du Livre de Poche, La Capture impose Nicolas Lebel comme l'une des voix les plus brillantes du thriller français.
« L'auteur de la série du Capitaine Mehrlicht brouille les pistes pour entraîner son lecteur dans une course à la vengeance palpitante. » Version Femina « Nicolas Lebel nous livre une intrigue à tiroirs, pleine de secrets et de découvertes. » 20 Minutes « Haletant. Comme La Capture, de Nicolas Lebel, qui signe le retour des Furies, ces déesses du châtiment, bien décidées à faire justice à leur manière, cette fois sur une île bretonne. » Livres Hebdo « Avec La Capture, Nicolas Lebel nous offre un polar impossible à résumer. Une intrigue diabolique, des personnages hauts en couleur, de l'humour, des rebondissements, sans oublier une belle plume, vous allez vous arracher les cheveux. Et peu dormir ! » Le Parisien « Drôle et captivant ! » France Dimanche « Du suspense, de l'humour, de l'action : La Capture contient tout cela. Et beaucoup moins de noirceur que Le Gibier. Peu importe, au fond : avec cette nouvelle veine, Nicolas Lebel s'installe durablement à la table des grands du thriller français où trônent le parrain, Grangé, ses lieutenants Franck Thilliez et Bernard Minier ainsi que leurs nombreux soldats. » Le Figaro Littéraire « Peu connu du grand public mais suivi par de nombreux fans, Nicolas Lebel bouscule les codes du polar pour en faire une "littérature de l'indignation". » Sophie Berthier, Télérama « Un livre avec un décor incroyable, on passe du chaud au froid, de l'ombre à la lumière, du rire au stress. Un roman avec des personnages secondaires croustillants. Lebel a un vrai sens de la narration et du rebondissement. » France Info « Une belle réussite de thriller en montagnes russes, dont la fin fait l'effet d'un coup de poing à l'estomac. » La Marseillaise « Réjouissant » Sud Ouest
Nicolas Lebel, auteur de la série capitaine Mehrlicht nous amène dans une course poursuites sur le registre de la vengeance. Il va brouiller les pistes dans un véritable jeu de miroir. La capture qui sème les coups récolte la vengeance, à l’image de ce titre qui détourne l’expression qui sème le vent récolte la tempête. L’histoire est construit avec une grande intelligence.
C'est toujours avec impatience que j'attends la sortie du nouveau bébé de Nicolas Lebel, précipitation chez mon libraire, récupérer mon graal .Une attente qui valait le coup, le livre est majestueux. Pour information, cette nouvelle histoire peut se lire indépendamment, mais je conseille fortement de lire le gibier avant.
Je retrouve Yvonne Chen avec plaisir, personnage toujours antipathique, froide, un caractère bien trempé, et mettant tout son cœur à son travail ,un peu solidaire elle se, voit attribuer deux acolytes, un trio insolite.
L'auteur nous transporte dans une ile bretonne, Morguélen, les descriptions faites par l'auteur nous font froid dans le dos. Il nous plonge directement, dans un huit clos insulaire, une traque, qui va se révéler différente, pour les trois acolytes, .Yvonne pourchasse les Furies dans l'espoir de les démasquer et de venger la mort de ces anciens partenaires particulièrement le commissaire Starski. A la base, ils doivent rechercher un criminel de guerre sans empathie, mais tout par au fiasco, et l'affaire dépasse Yvonne. Dans ce deuxième opus, nous commençons à comprendre ce que sont les Furies, le rôle primordial qu'elles jouent dans ces différentes enquêtes.
L'auteur nous entraine dans un univers de vengeance, de corruption, de manipulation,.
L'auteure à l'art et la manière de nous perdre dans son histoire, il prend plaisir à jouer avec ses lecteurs à les faire tourner en ronds, mettant à rude épreuve nos neurones, encore un tordu du cerveau, un bon psychopathe (petite blague).
Il nous tient en haleine du début jusqu'au dénouement final. Une histoire à multiples rebondissements, un rythme intense, à peine le temps de prendre une bouffée d'oxygène. La psychologie des personnages est travaillée an profondeur, existentielle dans ce livre. Nous avançons dans un environnement suffocant, oppressant, voir terrifiant. L'écriture est totalement addictive , visuelle, percutante, captivante et un brin d'humour qui pigmente le suspense
Une histoire intense, un huit clos insulaire, un univers sombre, empathie, et aphatie pour les protagonistes de ce livre.
Un roman noir et burlesque. Ce livre est une pépite, je l'ai dévoré en une journée, impossible de le lâcher, je voulais savoir connaitre le pourquoi du comment. Un roman à déguster sans modération, à un roman qui fait du bien à lire.
Ce nouveau thriller de Nicolas Lebel , nous emmène sur l’Archipel breton imaginaire de Morgelen, constitué de trois îles dont Morgelen, petit caillou battu par les vents et la pluie, est la plus grande.
Octobre est arrivé, les touristes ont fermé les maisons et déserté l’Ile. Ne restent que le père Petrovàcz, à peine trente paroissiens et deux agents de l’OCLCH ( Office de Lutte Contre Les Crimes Contre l’Humanité, les génocides et les crimes de guerre) en planque. Débarque Yvonne Chen, flic rencontrée précédemment dans « Le gibier ». Elle vient d’être mise au placard et sera probablement virée sous peu suite au meurtre de son supérieur le commissaire Paul Starski pour lequel elle a tout de même été blanchie. Depuis, Chen, animée de haine et de vengeance remonte la piste des « Furies », organisation de tueurs à gages qui se font richement payer leurs « Danses ». Elle les traque afin de les amener devant la justice ou de faire justice elle-même. Elle en est là de son questionnement quand elle débarque sur Morgelen.
Vont alors se télescoper deux enquêtes que rien ne semble relier, celle de Chen et celle de l’OCLCH qui surveillent depuis dix ans le père Petrovacz. C’est en fait le père Dragovic, criminel de guerre Croate qui s’est réfugié à Morgelen qui se cache sous cette identité. Mais comme ils n’ont pas la moindre preuve, ils espèrent le voir se trahir d’une manière ou d’une autre, car bientôt le crime sera prescrit et il pourra s’évaporer dans la nature.
Au travers de ce thriller, Nicolas Lebel évoque les nombreux cas de criminels de guerre du monde entier accueillis par la France avec, très souvent, le partenariat de l’Eglise qui a caché certains d’entre eux en France ou ailleurs, et leur capture.
Ce thriller aux rebondissements multiples, avec sa part historique, nous lance sur la trace des criminels de guerre, notamment ici, ceux liés au conflit en ex-Yougoslavie de 1991 au moment de la guerre d’indépendance de la Croatie. Ce rappel historique éveille la curiosité concernant tous les autres criminels de guerre pourchassés de par le monde et résonne avec notre actualité où de nouveaux crimes de guerre sont perpétrés sous les yeux grand fermés de la communauté mondiale.
La capture – Nicolas LEBEL
4eC
Morguélen. Un nom funèbre pour une île bretonne giflée par les vents. Un terrain idéal pour la lieutenante Chen, lancée dans une traque sans merci.
Dans son viseur : des tueurs à gages insaisissables, les Furies - référence aux déesses e la vengeance et du châtient. Mais à l’heure de la rencontre, la partie pourrait bien compter plus de joueurs qu’il n’y paraît. Et quand le prêtre de cette île du bout du monde entre à son tour dans la danse, une seule certitude demeure : quelqu’un va mourir.
Un polar qui devrait ravir celles et ceux qui aiment du suspens, de l’humour bien placé, Johnny Hallyday.
J’ai bien aimé l’écriture et l’idée de l’enquête, mais j’avoue ne pas avoir accroché sur la longueur. Des passages m’ont paru longs. Un livre qui a remporté le prix « du choix des libraires » du Livre de Poche.
Ma première incursion chez Nicolas Lebel avec La Capture…
Un ile bretonne au nom à la consonnance mortifère : Morguélen…
Divers personnages vont s’y croiser, venus là pour des raisons pas toujours bonnes, quoique cela dépende du point de vue.
Un prêtre, un chiffonnier, la nièce du chiffonnier, des policiers très spéciaux, une lieutenante de police lancée dans la traque obsessionnelle des meurtriers de son coéquipier, un gangs de tueurs au nom prédestiné, Les Furies…
Une ambiance de huis-clos insulaire, très théâtrale. Les personnages se croisent, se lient, se poursuivent, se trahissent… Les péripéties s’enchainent, redistribuant les rôles dans un constant jeu de miroirs et de chausse-trapes.
C’est rythmé, très visuel, plein d’humour et de cynisme, sans le moindre temps mort du début à l’ultime dénouement, renversant.
Dans la version audio, chez Audible, le narrateur, Michelangelo Marchese, sert vraiment le récit avec des intonations à la fois impliquées et fatalistes. Il en fait juste assez pour ne pas en faire trop ; je me comprends.
Polyphonique, alambiqué, déjanté…
Ma première incursion chez Nicolas Lebel, surement pas la dernière.
Deuxième tome du cycle « Les Furies ». On y retrouve la lieutenante Chen à la poursuite de ces tueurs de l’ombre qui ont tué son coéquipier dans « Le gibier »
Echec et mat
Yvonne Chen est en passe d’être virée de la police. Plus électron libre que jamais, elle poursuit les Furies, ce groupe d’assassins professionnels, rencontrées dans le Gibier. Pour rappel, Les Furies (dans la mythologie grecque, les Erinyes) sont des divinités vengeresses, chargées de punir ceux qui font le mal… avec quelque fois, des dommages collatéraux…
Après plusieurs mois d’enquête, elle pense les avoir localisé : Alecto, Tisiphone et Megara seraient sur une petite île à quelques encablures des côtes bretonnes : Morguélen, un caillou minuscule, quelques maisons, un bar, une église, une trentaine d’habitants… dont deux agents de l’OCLCH (Office de lutte contre les crimes contre l’humanité, les génocides et les crimes de guerre) –sous couverture- qui guettent le curé de la paroisse soupçonné d’être un criminel de guerre croate. Il leur reste six semaines pour trouver de quoi coincer le père Petrovácz : passé ce délai, ses crimes seront prescrits et il sera libre comme l’air ! Or, depuis vingt-neuf ans, dix mois et quinze jours, personne n’a pu trouver la moindre preuve de la véritable identité du prêtre… Ce jour là, le bon curé est occupé à célébrer les obsèques de Jules Meunier, un poivrot notoire qui vendait aux touristes tout un bric-à-brac dans une grange pompeusement baptisée la Grotte des Korrigans. Jules n’avait plus de famille, juste une nièce, Maé, à qui reviendra la lourde tache de bazarder l’essentiel du « trésor » des Korrigans. Bien entendu, l’arrivée de la lieutenante Chen dans cette petite communauté où tous se connaissent ne passe pas inaperçu, surtout qu’elle n’est pas là en simple observatrice. Tout ce petit monde va se croiser, inévitablement, et la rencontre sera… comment dire ? Explosive ?
J’avais beaucoup aimé le premier volet de la trilogie des Furies au point de ne pas attendre pour commencer le second. J’ai retrouvé avec plaisir Yvonne Chen et son caractère bien trempé (dans la glace essentiellement !). Yvonne est en mission, elle a rendez-vous avec les Furies qui lui ont pris la seule personne qui lui inspirait un semblant d’amitié (car Yvonne Chen n’a pas d’ami, elle n’en veut surtout pas). Déterminée, elle n’entend laisser rien ni personne entraver sa vengeance.
Délaissant le vocabulaire cynégétique, Nicolas Lebel nous convie cette fois à une partie d’échecs. Les chapitres sont rythmés par les différents coups d’une partie qui lorsque le roman commence, doit s’achever dans 32 heures et 4 minutes. Ce compte à rebours donne un suspens supplémentaire à une action qui n’en manque pas. Sur l’île de Morguélen, le Bien et le Mal se confondent et les coups tordus s’enchaînent, comme les mensonges qui sont monnaie courante puisque chacun a quelque chose à cacher, ou si vous préférez, personne n’est exactement celui qu’il prétend être. Les pages se tournent bien vite jusqu’au final inattendu et très malin !
Allez, j’enChen avec le troisième !
C’est à Morgelen, une petite ile bretonne battue par la pluie et le vent, qu’Yvonne Chen retrouve la trace des Furies. Elle a un compte à régler avec ce petit groupe de tueurs à gage (voir « Le Gibier ») aux méthodes perfectionnées et imparables. Une fois sur l’île, elle se rend compte que la police est déjà là, mais c’est l’OCLCH, une brigade qui taque les criminels de guerre en fuite. Eux sont là en planque pour essayer de confondre un croate qui a du sang sur les mains. La présence sur un si petit périmètre des Furies et d’un criminel de guerre n’est surement pas un hasard.
« La Capture » est le deuxième tome d’une série, qui a ce jour en compte trois. Même s’il est toujours possible de lire ce deuxième roman sans connaitre le premier « Le Gibier », on aurait bien du mal à comprendre toutes les subtilités de l’intrigue mettant en scène les Furies et Yvonne Chen. En fait il y a deux intrigues qui s’entremêlent assez vite. L’histoire du croate criminel de guerre que les policiers en plaque essayent d’identifier formellement avant de l’appréhender, elle se lit et se comprend sans problème. Celle mettant en scène Chen et les Furies a vraiment besoin pour le coup, du passif du premier roman. Très facile et agréable à lire (50 petits chapitres bien rythmés) « La Capture » est encore une fois un roman très documenté. C’est une constante chez Lebel qui nous a emmené un peu sur tous les terrains de conflits avec ses fictions (Afrique du Sud, Irlande du Nord...). Ici il nous embarque dans l’enfer de la guerre serbo-croate de 1990-92, de ses massacres de masse que l’histoire cherche encore aujourd’hui à juger. C’est bien de cela qu’il s’agit ici, amener un criminel de guerre devant ses juges, devant le TPI. Cette intrigue met en scène un vieux flic à quelques encablures de la retraite (du coup on craint pour sa vie pendant tout le roman, c’est bien connu, quand on est flic à quelques mois de la quille dans les polars, généralement on y passe !) et un jeune flic dépressif qui pleure beaucoup. Ce duo étrange, mal assorti, devient vite attachant. Et puis déboule Chen comme un chien dans un jeu de quille. Elle, peu lui importe le croate, elle veut les Furies. Entre les enquêteurs, les Furies et le croate se joue une partie de billard à trois bandes qui va faire des dégâts collatéraux. Encore plus que dans « le Gibier », les frontières du Bien et du Mal sont brouillées, les uns passant de l’un à l’autre et inversement. C’est déstabilisant pour le lecteur de roman noir, cette dualité n’est pas si flou d’habitude. C’est la même chose avec les notions de Justice et de Vengeance, là encore la frontière ténue entre les deux se brouille en permanence. J’aime beaucoup la fin de « la Capture » et son double twist, dont je ne dévoilerais bien entendu rien ici. Toute cette série, jusqu’ici, me donne l’impression d’une saga complexe et très élaborée mais qui n’est jamais tortueuse. Même si parfois les personnages et les motivations sont fuyantes, ambivalentes, on n’est jamais perdu, on ne lâche jamais l’intrigue. C’est assez fort de proposer quelque chose d’à la fois très complexe et très limpide pour le lecteur, c’est un petit tour de force de la part de Nicolas Lebel. Et comme d’habitude, l’humour grinçant et les clins d’œil aux collègues ne sont pas absents (Olivier Norek dans la Pléiade !), et cela apporte encore un petit plus à ce roman qui ne manque pas de qualités.
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