La Bible et le mécreant

• Date de parution : 01/09/2008
• Editeur : Benevent
• EAN : 9782756309408
• Série : (-)
• Support : Papier

• Nombre de pages : 476
• Collection : (-)
• Genre : Littérature française
• Thème : Romans Nouvelles Correspondance
• Prix littéraire(s) : (-)

Grâce à ma rencontre avec un Témoin de Jéhova et à la lecture d'oeuvres de Jean Bottero sur les religions mésopotamiennes et assyriennes, ainsi que de revues comme Notre Histoire, La Vie et Sciences et Avenir, j'ai pu relire la Bible avec un oeil critique. Je me suis alors intéressé à des livres... Voir plus

Grâce à ma rencontre avec un Témoin de Jéhova et à la lecture d'oeuvres de Jean Bottero sur les religions mésopotamiennes et assyriennes, ainsi que de revues comme Notre Histoire, La Vie et Sciences et Avenir, j'ai pu relire la Bible avec un oeil critique. Je me suis alors intéressé à des livres sur l'origine de l'Univers, en particulier ceux d'Hubert Reeves, et sur l'origine de la vie d'Yves Coppens et Pascal Picq, puis j'ai lu l'Extraordinaire histoire de la vie, des deux vulgarisateurs scientifiques italiens Pietro et Alberto Angela.
J'ai pu, à la lumière de ces livres, voir toute l'ignorance de la Bible sur tout ce qui touche à l'origine du monde et de la vie. Ce livre comme toutes les religions opèrent sur les fidèles un lavage de cerveau permanent, et dès l'enfance leur inculque des idées complètement erronées. Pourtant, il suffirait de lire la Bible avec un esprit un peu critique pour voir comment ce Dieu pédant, jaloux, cruel, amateur de sacrifices, de sang surtout celui des jeunes vierges pour en éprouver une répulsion. Lors de la conquête partielle de la Terre Promise, par ses anathèmes il demande à Josué la mise à mort des femmes, des enfants, même des nourrissons.
Les religions issues de ce livre n'auront qu'à suivre son exemple pour illuminer les nuits des bûchers où brûlent les prétendus hérétiques, ceux qui ont osé mettre en doute la moralité de ses prêtres qui vivent grassement de la crédulité du peuple.
Mon but, c'est de pouvoir dessiller les yeux, non des fanatiques aveuglés par un endoctrinement dès la plus tendre enfance, mais de ceux qui doutent et cherchent à comprendre les religions, « opium du peuple ».