Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
Le cours du fleuve ne renonce pas à son lit. Saïd Mohamed écrit le peuple avec brutalité, crudité, férocité. Les pauvres sont des gueux, des mendiants, des loqueteux. Les pauvres sont des femelles et des putains. Il décrit impitoyablement ces hommes et femmes perclus dans leur misère. Ce n'est pas pour se mettre à l'écart ou les prendre de haut, bien au contraire, il s'inclut dans cette masse sordide pour mieux en tirer les ferments de splendeur qu'il sait y dénicher. Qui mieux que Saïd décrira l'âpreté de la vie, dans ses contradictions intestines, avec ses horreurs et ses beautés ? (.)
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