« Maman est morte ce matin et c'est la première fois qu'elle me fait de la peine. » Pendant deux ans, Eric-Emmanuel Schmitt tente d'apprivoiser l'inacceptable : la disparition de la femme qui l'a mis au monde. Ces pages racontent son « devoir de bonheur » : une longue lutte, acharnée et difficile, contre le chagrin. Demeurer inconsolable trahirait sa mère, tant cette femme lumineuse et tendre lui a donné le goût de la vie, la passion des arts, le sens de l'humour, le culte de la joie. Ce texte explore le présent d'une détresse tout autant que le passé d'un bonheur, tandis que s'élabore la recomposition d'un homme mûr qui n'est plus « l'enfant de personne ». Éric-Emmanuel Schmitt atteint ici, comme dans La nuit de feu, à l'universel à force de vérité personnelle et intime dans le deuil d'un amour. Il parvient à transformer une expérience de la mort en une splendide leçon de vie.
L'auteur raconte la période de deuil qui'il a subi pendant deux ans suite au décès de sa mère. Des souvenirs d'enfance remontent à la surface. Il s'en veut de ne pas aborder certains sujets avec sa mère avant qu'elle ne parte. le livre est un hommage à sa mère qui l'a aidé à devenir ce qu'il est aujourd'hui, mais aussi un hommage à la vie. Un beau texte.
L'auteur raconte la période de deuil qu'il a subi pendant deux ans suite au décès de sa mère. Des souvenirs d'enfance remontent à la surface. Il s'en veut de ne pas aborder certains sujets avec sa mère avant qu'elle ne parte. le livre est un hommage à sa mère qui l'a aidé à devenir ce qu'il est aujourd'hui, mais aussi un hommage à la vie. Un beau texte.
Un livre différent de la part d'Eric Emmanuël Schmitt puisqu'il s'agit d'un récit autobiographique sur le deuil de sa mère, un cheminement de deux années. On sait que l'écrivain a une belle plume et sait parfaitement provoquer la rencontre avec ses lecteurs. Ses lignes sont souvent belles et touchantes. J'ai partagé ce deuil et eu de l'empathie pour cet homme qui perd sa mère à 58 ans, elle-même âgée de 86 ans. Le cycle de la vie fait son oeuvre, même si personne ne souhaite perdre des êtres chers. Le livre décrit parfaitement la force de l'amour mère/enfant, intense, fait de moments de joie et d'instants de complicité jusqu'à la fin. C'est beau et on aimerait tous vivre ce rapport aux parents qui fait que même à leur disparition leur souvenir nous accompagne dans la suite de notre parcours.
Comme souvent certains passages sont beaux et tellement justes à l'image de la phrase suivante : "On occupe sa jeunesse à se préparer à vivre, sa vieillesse à se souvenir d'avoir vécu". Même si le récit est centré sur la perte de la mère, j'ai également beaucoup aimé le rapport au père et notamment la reconstruction de ce rapport qui est une belle preuve de résilience.
Ma seule réserve concerne certains passages isolés qui cassent un peu la narration comme si Eric-Emmanuël Schmitt avait noté des idées comme elles viennent sans chercher de fil conducteur et de cohérence.
Une belle lecture, agréable et touchante.
Le roman sur la mère de l'auteur, écrit après son décès.
De la représentation de Cyrano de Bergerac à Lyon, où sa mère l'avait emmené car il avait dit qu'il n'aimait pas lire et dont il était ressorti ému aux larmes. C'est d'alleurs ce soir-là qu'est née sa vocation:" je veux être comme le monsieur sur l’affiche”, pointant du doigt non pas le personnage au long nez, mais son auteur, Edmond Rostand.Jusqu'à ses écrits après la mort de sa mère, sa sidération et sa tristesse immense. Un livre bien écrit et assez touchant!
Comment faire face lorsque la mort emporte subitement celle qui nous a donné la vie sans s'annoncer au préalable? Comment continuer à vivre sans cet être originel sans qui nous ne serions pas là? Comment affronter le vide laissé par sa disparition?
Voilà les interrogations au coeur de la démarche d'Éric-Emmanuel Schmitt qui prend le parti de partager avec ses lecteurs l'insondable silence de l'absence.
On y découvre une merveilleuse histoire d'amour entre un fils et sa mère qui va bien au-delà des attachements de l'enfance. L'auteur s'y dévoile dans ce qu'il a de plus intime et tente de percer les mystères laissés par sa mère.
C'est un livre touchant qui porte bien son nom et qui offre une place de choix à celle qui fut déterminante dans la vie d'un grand artiste.
Un beau texte d'Éric-Emmanuel Schmitt, comme toujours
je trouve ce récit est vraiment mièvre
Un beau roman, empli d'amour & de vie.
D'envie de vivre, pour ceux qui ne le peuvent plus.
Un roman pour un deuil, libérateur.
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