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Si j'avais pu oublier totalement le passé, peut-être j'aurais pu vivre comme les autres, être heureux de ce que j'ai, et ne plus penser à ce que je n'ai plus. Je n'ai pas de photos de mes parents, je n'ai pas leur dernière lettre ; je n'ai pas de tombe où me recueillir. Un seul document : "Disparus... Auschwitz 1943."» Ainsi s'exprime un de ceux qui ont accepté de s'entretenir avec Claudine Vegh. Tous sont des orphelins juifs dont les parents sont morts dans les camps. À cette époque, ils avaient entre cinq et treize ans. Ils ont encore l'impression de vivre «par accident».
Comme l'exprime Bruno Bettelheim dans la postface : pour ces enfants, le deuil s'est avéré impossible. Et des années après, au cours de leur entretien, c'est toujours la même plainte : «Je ne lui ai pas dit au revoir.
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