Le sujet de recherche rentre dans le cadre du programme « Valorisation du potentiel écologique et hydro-agricole de la vallée du fleuve Sénégal dans le département de Dagana par l'aquaculture intensive d'Oreochromis niloticus », signé entre l'université de Liège de Belgique et l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar, est à sa dernière année d'exécution après 5 ans d'existence de 2006-2011. La majeure partie des activités ont été réalisées, au niveau local, à la station expérimentale de la CSS, au niveau des sites ciblés et en Belgique concernant les travaux de recherches (analyses génétique et nutrition). L'étude sur le polymorphisme enzymatique des protéines a permis de caractériser les différentes populations naturelles issues de trois milieux de la vallée du fleuve Sénégal. La population du fleuve avait la plus grande variabilité génétique avec des taux de polymorphisme de 19 % et d'hétérozygotie de 6,1 %. Cependant, la population de la réserve du Djoudj présente les plus faibles taux de polymorphisme et d'hétérozygotie (12,5 % et 2,4 % respectivement) donc moins de variabilité génétique et plus de consanguinité.
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
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