"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Luc Cortebeeck s'engage depuis plus de quarante ans dans le combat pour la justice sociale. De 2011 à 2017, il a été vice-président du Conseil d'administration de l'OIT, et son président en 2017-2018. L'Organisation internationale du travail (OIT) est l'agence des Nations unies qui rassemble les gouvernements, les employeurs et les travailleurs, oeuvre en faveur du travail décent et de la justice sociale, et établit et contrôle les normes internationales du travail.
Dans Il reste du pain sur la planche, il réunit ses idées et ses expériences, lançant une invitation à réfléchir et, surtout, un appel à agir. Travail forcé en Asie et dans les états du Golfe, érosion de la sécurité sociale et du droit de grève dans les pays industrialisés, répression brutale des syndicalistes en Amérique latine ; l'auteur s'appuie sur une analyse pointue du travail dans le monde d'aujourd'hui pour mieux se pencher sur son avenir. Comment éliminer le travail des enfants et l'exploitation sociale ? Comment contraindre les gouvernements et les multinationales à respecter chacun des travailleurs dans les chaînes d'approvisionnement ? Comment profiter des défis et des opportunités qu'offre la numérisation pour combattre les inégalités ? Comment travailler dans un monde après la crise du Covid-19 qui touche partout dans le monde d'abord et surtout les personnes les plus vulnérables et les jeunes ?
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !