Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Il serait téméraire de réduire Yves Martin au seul piéton de Paris sous l'égide de Léon-Paul Fargue, Francis Carco, André Hardellet ou André Héléna. Non pas que Martin n'ait battu le pavé parisien, de jour et de nuit, mais parce que, à sa manière inimitable, il cadence, syncope autrement, monte ses textes comme autant d'images d'un film. Il nourrit de magie les instants contrastés de la vie qui s'écoulent. Son oeil enregistre ce que l'existence prend jour après jour. Une fois encore Yves Martin épaule et tire une série de portraits du temps qui passe.
Il faut savoir me remettre à ma place est une suite de "hasards soigneusement ajustés derrière votre dos, de profil, de face, un ennemi imparable'.
Incohérence de l'écrivain ? Pas du tout, parce que le livre des grandes heures creuses et des heures glorieuses ne se constitue que par des imprévus et des coq-à-l'âne.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Chacune des deux demeures dont il sera question est représentée dans le sablier et le lecteur sait d'entrée de jeu qu'il faudra retourner le livre pour découvrir la vérité. Pour comprendre l'enquête menée en 1939, on a besoin de se référer aux indices présents dans la première histoire... un véritable puzzle, d'un incroyable tour de force
Sanche, chanteur du groupe Planète Bolingo, a pris la plume pour raconter son expérience en tant qu’humanitaire...
Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !