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Dans ce poème, un jugement dernier, terrifiant, s'avance à l'encontre des violeurs, tueurs, si nombreux sur la planète bleutée. La Terre est le lit de l'amour. Ils ne le savent pas. Ou s'ils le savent, ils n'en veulent rien savoir ! Comment le leur dire ? Eh bien, en un mot. Elle doit être aimée, vénérée pour son extraordinaire beauté. La découvrir réveille des émotions, suscite des joies, apporte un quelque chose du souverain bien, comme parfois chez les fils et filles modestes, humbles et discrets, qui n'ont rien de chichiteux.
La Terre est une divinité, non un objet voué à devenir matière à exploit ou d'usage outrancier. En faire la poubelle de nos déchets, en dit long sur l'inconscience délictueuse des suprématistes qui prétendent l'administrer. Déjà, les anciens sages de l'Inde antique l'enseignaient : « Nous devons rendre à la Terre les biens qu'elle nous donne. La soigner comme elle nous gratifie avec ses fruits. Ne pas soustraire au sol et à l'air plus que nous ne saurions leur rendre ». Telle est la sagesse.
L'auteur suit la voie du respire, propre à la survie des créatures terrestres et célestes, sans craindre d'analyser les sillons du péril extrême.
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