Ce soir, je n'ai pas fini de penser mes mots. Avec ce recueil, je croyais panser mes maux. Dès le départ, le premier novembre, passé, à l'arrivée, ce doux huit février, flouté, J'agrégeai mes juvéniles jets aux obscures Pensées quadragénaires, Franck, Albert, Elias, Comme le bombyx digère ses feuilles, glouton, Pour mieux à grège donner du fil, à tordre. De gré à gré, j'agrée à mes pensées intimes, Merci ma vie, grée tel un vaisseau de guerre, Et sur l'embrun, le rouleau blanc désagrégé, Je flotte, passant des greys aux plus acrobatiques Des agrès. Becquerel a remplacé Curie :« B-Q » contre « C-i » au même titre que« G-i grec » a vidé le Rad. Pour ainsi dire« Ci-Gy » forment un couple non sexy pourtant Pour moi, en souriant, ils ont tourné la page. Je dédie mes bonheurs A tous les courageux discrets, aux guerriers De l'espoir, sans les citer. Je leur hurle tous mes mots du coeur. Papa, Franckinou, Francky, Franck Albert Elias BADIA, ton Christ ? Quelques mots sur moi : Papa avant tout. Amoureux fou d'une femme.
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