À l'image de sa si centrale glande pinéale comme voie d'union au corps dont Descartes surplombe ses inconscientes gauche/droite de ses songes de 1619, n'est-il pas étonnant que la politique du XXIe siècle se délite en ses gauche et droite, si ce n'est au profit d'un centrisme ou d'une traction vers l'extrême droite doublée d'une fragmentation sociale et d'une guerre culturelle bientôt faite « cancel culture » toujours plus unilatéralement imposée des uns aux et sur les autres ? Cette politique a pour moteur un sociosexoréférentiel patriarcal, dont la trame libertaire grégarisante reconfigure le tribal ou, tout à l'inverse, fait craindre le chaos aux yeux de l'État cherchant à l'en contrôler. Considérons plutôt les sociétés d'autant humaines qu'elles sont composées d'individus d'emblée sociaux et se cultivent telles, entre ces deux extrêmes se codéployant en miroir. Leur culture coévolue avec la nature, en ses expressions physiques gauche/droite mises en tension (énantiomorphiques) en divers sens (énantiodynamiques). S'y conjugue un nouveau sociosexoréférentiel : le féminin mais imprégnant jusqu'au masculin. L'egoïsation est confrontée à son incertitude foncière. Tous et chacun des sexes s'expriment bien diversement selon leur commun sociosexoréférentiel alors en cause.
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
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