Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
On a longtemps considéré que la folie était un triste privilège que l'espèce humaine devrait à ses capacités psychiques sans commune mesure dans le règne animal.
Il n'en va plus de même aujourd'hui : puisque nous savons désormais que nombre d'animaux disposent de compétences analogues aux nôtres, fût-ce à des degrés différents (utilisation d'outils, langages, considérations morales...), il n'y a aucune raison pour penser qu'ils soient épargnés par la maladie mentale. Des folies qui ressemblent aux nôtres, et des folies qui leurs sont propres. Des folies « naturelles » et d'autres dont nous sommes la cause. Car il n'est pas toujours bon de fréquenter l'espèce humaine !
Michel Kreutzer ouvre ici le grand livre de la zoopsychiatrie. Mais alors bien des problèmes se posent, chaque espèce vivant dans un monde qui lui est propre, ce qui relativise la pertinence des comparaisons. À chaque animal sa folie spécifique ?
Où l'on verra qu'il n'y a pas de solution de continuité entre le normal et le pathologique, pas plus chez l'homme que chez l'animal...
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