Ce road-movie intimiste est l'une des BD à ne pas manquer en cette rentrée
L'homme, de part les sélections successives qu'il a effectuées sur les races canines, a créé des isolats génétiques. En effet, les races entre elles présentent un polymorphisme très important, alors qu'à l'intérieur de chaque race la diversité génétique est très réduite. Ces caractéristiques font que des différences génétiques seront plus faciles à mettre en évidence chez le chien que chez l'homme chez qui les populations sont continuellement brassées. Nous faisons l'hypothèse que chez le GBS, l'«épilepsie essentielle» serait monogénique et se transmettrait sur un mode autosomique récessif. Cependant la forte consanguinité dans cette race pourrait masquer un mode de transmission polygénique. Un criblage complet du génome a été réalisé avec 300 microsatellites sur 20 chiens. Si ce travail n'a pas permis de mettre en évidence un ou des locus liés à l'épilepsie, il nous a permis d'exclure de nombreux gènes candidats connus pour être responsables d'épilepsie chez l'homme.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Ce road-movie intimiste est l'une des BD à ne pas manquer en cette rentrée
Découvrez 5 romans en format poche et tentez de les gagner...
Lovecraft comme vous ne l'avez jamais lu, à travers une sélection de lettres qui rend son univers encore plus complexe et fascinant
Des conseils de lecture qui sentent bon la rentrée !