Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
Être une mauvaise mère, c'est ce que redoutent toutes les mères. Pas Emma qui sait qu'elle l'a été. Au soir de sa vie elle assume l'abandon de ses enfants, surtout de sa fille aînée, et le désir de vivre qui ne l'a jamais quittée. Sans pathos ni culpabilité, elle invoque son droit à la liberté et au plaisir plus fort que tout sentiment maternel, raconte comment elle n'a pas su aimer. Et peu à peu le souvenir d'un caillou rose que lui avait offert sa fille devient fil conducteur et obsession, son rosebud à elle, sans aucun regret.
Après La Mère horizontale, Carole Zalberg poursuit son étonnante remontée narrative dans une histoire familiale où les femmes sont incapables d'aimer.
"A défaut d’Amérique" est le dernier volet d’un triptyque romanesque démarré avec Et qu’on m’emporte et poursuivi avec La Mère horizontale, mais il n’est nul besoin d’avoir lu les précédents ouvrages pour apprécier celui-ci.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
Des idées de lecture pour ce début d'année !
Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
A gagner : la BD jeunesse adaptée du classique de Mary Shelley !