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En tout espoir de cause (le monde de demain a déjà commencé)

Couverture du livre « En tout espoir de cause (le monde de demain a déjà commencé) » de Philippe Dessertine aux éditions Anne Carriere
Résumé:

Notre époque est celle d'un tournant majeur, historique. La crise économique commencée en 2007 avec les subprimes annonçait la fin d'un monde. Le nouveau modèle se met en place, sous nos yeux, parfois sans que nous y prenions garde. Une chose est sûre : nos enfants, nos petits-enfants ne vivront... Voir plus

Notre époque est celle d'un tournant majeur, historique. La crise économique commencée en 2007 avec les subprimes annonçait la fin d'un monde. Le nouveau modèle se met en place, sous nos yeux, parfois sans que nous y prenions garde. Une chose est sûre : nos enfants, nos petits-enfants ne vivront pas comme nous ; ils serons sans doute épouvantés par les folies de notre temps.
Ce livre positif, optimiste, veut d'abord dire à la nouvelle génération, celle du numérique, des big datas, des impressions 3D, que les temps qui viennent lui appartiennent. Dans la première partie, les trois grandes révolutions - celles de l'agriculture, de l'énergie et surtout de l'univers numérique - sont présentées comme les réponses aux impasses dans lesquelles le monde semble enfermé. La dette, mais aussi le réchauffement climatique, l'expansion démographique, l'urbanisation anarchique et galopante ne sont pas une fatalité. L'humanité dispose déjà des moyens d'éviter ces périls, la mutation a commencé. Il suffit d'y croire, d'accepter le pari du futur, au lieu de rester arcbouté sur les ressorts anciens. Il suffit aussi d'effacer le résultat de nos folies passées, dont la dette publique est l'une des formes les plus terrifiantes.
Cette fameuse crise, on y revient dans la deuxième partie, est en fait celle des riches vieillards d'Occident, qui tentent par tous les moyens de stopper une évolution dont ils seront les premières victimes. Leur conservatisme en est à l'origine même, et il constitue la clef de lecture de nombreuses mesures prises pour « gérer » la crise, en réalité pour la prolonger et pour éviter à tout prix l'avènement du monde nouveau.
En troisième partie sont évoquées les conditions fondamentales pour que les vieillards ne « tuent » pas les jeunes, pour que les grands projets voient le jour, pour qu'au lieu de ralentir les grandes mutations s'accélèrent et que les gamins d'aujourd'hui, ceux de demain trouvent leur place dans une société apaisée.

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