Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
- Seule la pureté commande à l'approche picturale d'un maître.
- Il n'y a pas de doute là-dessus. Nus devant ses tableaux, appréhendant chaque fois l'ensemble et les détails, le recherchant, lui, dans l'ombre découpée d'un personnage ou près d'une tache de lune. Le recherchant, l'inconnu qui s'avance vers nous, tout à son étonnement de nous donner une image incandescente.
- Un permis de voir ?.
- Oui. Car jusqu'alors nous demeurions à l'intérieur de la caverne américaine.
- Et maintenant ?
- Maintenant, nous marchons sur les ombres découpées du texte.
Martin Melkonian procède par augmentations ou additions successives. Évitant le retour systématique au tableau peint par Hopper en mille neuf cent vingt-six, il cherche à donner " du corps " à une scène accidentelle et à un personnage pétrifié.
À travers le processus de l'écriture par augmentations ou additions successives, le souvenir donne précisément du corps à ce qui a disparu du champ de la vision.
Le tableau ne montre pas la disparition : il est structuré à partir de la disparition. À son tour, l'écriture de Martin Melkonian est structurée à partir de la disparition du tableau (du corps matériel du tableau). On assiste ici, de degré en degré, à une étonnante reconfiguration.
À une vision après la vision.
Un acte de voyance.
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