Nos ancêtres les " Homos " Érectus, Sapiens etc, tels qu'en parlent les paléontologues ont succédé aux Australopithèques, les pré-humains, il y a environ entre 3 millions d'année. Depuis l'apparition du genre humain, la famille dans les sociétés a, à quelques rarissimes exceptions près, toujours été structurée suivant un seul et unique schéma : Un mâle dominant, une ou plusieurs femelles soumises, des petits, comme généralement chez les animaux. Un axe que l'on croyait immuable. Or la deuxième guerre mondiale a été le point de départ d'un changement radical, fulgurant et irréversible du masculin et, de fait de toutes les bases de nos sociétés occidentales. Puis, la libération de la femme qui lui donne l'accès aux pouvoirs conduit à un inversement total des valeurs qui ne laisse rien comme auparavant. Depuis, petit à petit, notre pilier, notre " gorille à dos argenté " se fragilise, se féminise, se meurt. Un changement majeur s'explique toujours par un faisceau croisé de plusieurs causes. Dans ce cas: L'histoire, l'économie, la religion que l'on délaisse : Dieu était un homme et a toujours assis la suprématie de ses congénères, réduit le féminin. L'homme s'éloigne simultanément de Dieu et de sa virilité... Dieu ne fume plus de Havanes... Mais surtout et plus grave, des raisons physiologiques et scientifiques décrites à travers une enquête de santé publique surprenante... Au coeur des espèces menacées il y a le mâle. Le mâle s'éloigne du patriarcat traditionnel et industriel. La problématique du masculin, sa transformation, peut être son déclin sont abordés sous plusieurs angles : " Hemmes " ou les nouveaux hommes, les nouveaux rapports hommes-femmes, le rapport au travail, la paternité (on est passé de la paternité à la fonction paternelle), la famille, éclatée ou les hommes se retrouvent confrontés à assumer des tâches maternelles, la virilité, et la sexualité (les nouveautés en matière de moeurs sexuelles, de perversion...), l'homosexualité, la transsexualité, l'androgynie... Un pareil changement n'est jamais sans conséquences, les effets miroirs, les " nouveaux enfants, les nouvelles femmes " leurs modifications comportementales. Les jeunes garçons chez lesquels on constate, par exemple, que le sexe et sa pratique occupe beaucoup moins l'esprit des ados que celui des quinquagénaires. L'homme se féminise et contrairement à toute logique, cela l'éloigne encore plus de la femme.
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