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L'exposition met à l'honneur l'oeuvre d'Émile-René Ménard sous le prisme de sa fascination pour l'Antiquité classique et sa quête d'harmonie entre l'homme et la nature. Cet artiste symboliste n'a pas bénéficié de rétrospective depuis les années 1970. Parler de l'oeuvre d'Émile-René Ménard, c'est nécessairement parler de l'Antiquité. L'oeuvre de cet artiste polymorphe est à jamais liée au Symbolisme. Pourtant, même si Ménard s'emploie dans son oeuvre à explorer l'invisible de l'univers avec un certain regard mystique, son oeuvre est profondément marquée du sceau de l'Antiquité, une Antiquité admirée, rêvée, perdue. Ce sentiment de perte, la nostalgie d'un âge d'or révolu, habitent l'ensemble de son oeuvre. C'est cet aspect spécifique que l'exposition ambitionne de mettre en lumière. Peintre de paysages, Ménard y applique un certain classicisme académique, auquel il adjoint une vision mélancolique des ruines qu'il choisit de dépeindre. Ces ruines, majoritairement grecques, trahissent la fascination de l'artiste pour cette civilisation, version d'un Eden perdu, qu'il tente de se réapproprier par la réinterprétation des modèles artistiques de la statuaire antique : nymphes, baigneuses et autres naïades empruntent ainsi leurs traits à d'illustres sculptures classiques.
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