Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Depuis des années, David Claerbout accompagne ses oeuvres de commentaires sur la sphère visuelle et intellectuelle dans laquelle elles s'inscrivent. Au centre de ses réflexions figure la rupture de l'accord que nous avions passé de manière tacite autour d'images supposées objectives, car produites selon les lois de l'optique et de la photographie. Or, à l'ère des deep fakes calculés, instantanés et automatiques, ce qu'il nomme dark optics se passe de toute négociation avec le « réel », renouant paradoxalement avec la pure invention de la peinture figurative antérieure au XIXe siècle, voire avec les théories de la vision antiques et médiévales. Ces témoignages d'un constructeur d'images sont ici délivrées sous la forme d'un carnet de dessin. Essai visuel et texte de David Claerbout, préface d'Olivier Michelon, historien et critique d'art.
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
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