Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Fin 2005, Teju Cole est retourné à Lagos, la ville de son enfance, pour la première fois après treize ans d'absence. Rentré à New York, il entreprend de relater ce voyage sur son blog en publiant un article quotidien pendant un mois. Mélange de souvenirs, de reportage et de fiction, Chaque jour appartient au voleur devient ainsi son premier roman, initialement édité au Nigeria en 2007 et republié sous une forme révisée en 2014 aux États-Unis et au Royaume-Uni.
En vingt-sept chapitres, Teju Cole relate ce retour au pays difficile et émouvant, au cours duquel le narrateur tâche de renouer avec l'univers étourdissant de la mégapole africaine aux douze millions d'habitants. Il capte les scènes qui ponctuent le séjour de son personnage et les traduit avec justesse : les pots-de-vin exigés par l'employé du consulat à New York, les périples en danfos, ces minibus jaunes décrépis et bondés qui fusent dans les rues de Lagos, ou le châtiment cruel des voleurs à la tir au marché. Des photographies prises par Teju Cole lors de son séjour amplifient l'expressivité du texte, servi par une langue précise et mélancolique.
« Lagos prend réellement vie dans ce roman, il constitue l'une des représentations les plus percutantes qu'ait livré de cette ville un auteur contemporain. » NoViolet Bulawayo
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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