Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Quel mode d'existence ont les concepts, entendons : les classes, les types, les généralités ? Y a-t-il des propriétés universelles ? Ce que les médiévaux ont appelé les universaux sont-ils des choses « capables d'exister en plusieurs » ou ne sont-ils que dans l'intellect ? S'agit-il d'aspects du monde lui-même ou de pures représentations de l'esprit qui confère au monde un ordre ? On sait la place que la « lle des universaux » a occupée tacitement dans la philosophie ancienne, puis explicitement dans la philosophie médiévale, mettant aux prises réalistes et nominalistes. Chacun sait aussi que ce problème, longtemps pertinent pour répertorier écoles et doctrines, fut réduit à un simple appendice des grands systèmes idéalistes post-cartésiens. Mais alors, comment comprendre le regain de faveur des discussions sur la réalité des universaux dans la philosophie contemporaine ? S'agit-il de la reprise d'un problème dont la philosophie ne peut pas faire l'économie, même si elle a pu l'occulter ? Y a-t-il réellement une pensée commune entre le réalisme d'un Duns Scot et celui d'un Armstrong, ou entre le nominalisme d'un Ockham et celui d'un Goodman ? Ces questions ont fait l'objet d'un colloque organisé à l'Université de Caen. La confrontation entre solutions anciennes et solutions contemporaines et le débat entre historiens de la philosophie et philosophes contemporains ne sont pas seulement féconds, ils sont philosophiquement nécessaires.
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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