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Ça va mieux, ton père ?

Couverture du livre « Ça va mieux, ton père ? » de Mara Goyet aux éditions Stock
  • Date de parution :
  • Editeur : Stock
  • EAN : 9782234082410
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

« Mon père l'a affirmé haut et fort. Il voulait, après sa mort, se réincarner en train. Ainsi les vaches le regarderaient-elles passer. C'était peut-être son idée de la félicité. Ou, comme souvent avec lui, la douceur de l'image, sa simplicité.
Mon père est vivant. Il est malade depuis des... Voir plus

« Mon père l'a affirmé haut et fort. Il voulait, après sa mort, se réincarner en train. Ainsi les vaches le regarderaient-elles passer. C'était peut-être son idée de la félicité. Ou, comme souvent avec lui, la douceur de l'image, sa simplicité.
Mon père est vivant. Il est malade depuis des années maintenant. Terriblement. Il file déjà, à pas lents, à travers le paysage. Qu'il soit pourtant, et à l'avance, exaucé : même si je ne suis pas une vache aux longs cils et au regard humide, même si je ne fais pas le poids, je veux le regarder passer, observer sa vie et ce qu'est devenue la mienne. Je ne vais cependant pas me contenter de ruminer ; il y a tant de belles choses à raconter. »

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Avis (1)

  • Page 91 « La fréquentation d’un vrai con remet en place […] » – J’ai le même sentiment lorsque je suis confronté à un écrivain qui étale sa culture littéraire comme on tartine sa biscotte de confiture.
    Page 113 « […] ces messages adressés à quelqu’un qui ne les reçoit pas, je trouve ça...
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    Page 91 « La fréquentation d’un vrai con remet en place […] » – J’ai le même sentiment lorsque je suis confronté à un écrivain qui étale sa culture littéraire comme on tartine sa biscotte de confiture.
    Page 113 « […] ces messages adressés à quelqu’un qui ne les reçoit pas, je trouve ça déchirant […], à pleurer […] » – Page très poétique qui dépeint assez bien le caractère égocentrique de l’auteur.
    Page 140 « J’ai comblé les manques à coup de référence, de connaissances […] » – C’est exactement ce que l’auteur a réalisé pour l’écriture de ce roman.
    Page 161 « J’ai vérifié quantité d’images du moi, d’aspects de soi sans jamais me croiser une seule fois » – Alors qu’il suffit de choisir une route de la vie, de sa vie, mais n’oubliez pas de regarder des deux cotés avant de traverser.
    Page 162 « J’ai […] le plus grand respect pour le malheur […] Sans compter que j’ai eu de la chance […] Enfin, si […] pour mon père […] c’en est un considérable. » – Arrivé au trois-quart du livre pour que l’auteur se rende enfin compte que ce n’est pas elle qui subit la maladie.
    Page 190 « […] j’ai un mari, deux enfants. […] je suis fonctionnaire. Je travaille. Je gagne ma vie […] » – Manque plus que le « J’habite Paris » que les provinciaux auront deviné malgré tout.
    Page 203 « Mon voisin était peut-être un connard. Mais un connard utile. » – Mais elle, égoïste, égocentrique, est un prof écrivain parfait.
    Roman pathétique, pas de recherche, manque de profondeur, ennuyeux.

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