Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
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« Bouche Louche » le bien-nommé…
Une espèce de cri dans le vide, gratuit, dont on distingue mal le sincère de l'artificiel mais qui fonctionne, juste ce qu'il faut pour continuer de tourner les pages, agacée mais embarquée. Une langue à vif, qui se veut clairement à vif en tout cas, orale, déconstruite et qui veut toucher à tout, Mano Solo et la révolte adolescente qui auraient aimé Céline et l'Oulipo. de très beaux passages (sur Céline, notamment, sur Rimbaud aussi), et une immense tendresse pour ma part au fil des pages, en me demandant ce que le prochain donnera, quand la fatigue de la trentaine bien tassée et l'amertume auront un peu lissé cette furie de celui qui gueule encore en pensant tout au fond qu'on lui répondra, à un moment, quand même.
Bref, un livre que je conseillerai à ceux qui aiment la poésie, pas les vers miteux pleins de roses et d'épines de l'amûr tout ça à vous taper la tête contre le premier mur à portée de front, mais celle qui se cache dans les bouges et qui fait sourire les putains, et puis à ceux qui ne l'aiment pas aussi, parce que cette langue-là n'est pas pour les académiciens et les critiques poudrés à noeud pap' et qu'elle te parle, à toi, de toi. « Un poète, ça sent des pieds, on lave pas la poésie. Nous sommes des chiens » disait Ferré. Un corniaud prometteur vient de rejoindre la meute.
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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