Ce road-movie intimiste est l'une des BD à ne pas manquer en cette rentrée
« Car ce que je ne sais comment nommer, qui n'est ni une histologie de l'âme, ni une autobiographie, ni un récit ; qui n'a pas de Nom et n'en réclame point, pourrait aussi se lire en commençant par la fin qui, sans la moindre intention, sans même que le souvenir du début ne l'influençât - si ce n'est par réminiscence - le rejoint : bouclant la boucle en un mouvement indéfiniment orbital... » Ce livre presque inédit (puisqu'il a paru une première fois sans être jamais diffusé) est le début de l'entreprise autobiographique que Cécile Reims poursuit en marge de son travail de graveur depuis plus de trente années. Tout s'y trouve déjà de sa méthode d'exploration : in- terrogation des rêves et de la solitude, observation de l'acte créateur et de la vie quotidienne, remémoration du douloureux passé et questionnement sans fin de la mort initiale... Et le silencieux dialogue avec le compagnon de tous les instants.
« Je porte le deuil de mes pertes » pourrait être le résumé de ces pages obstinées - à moins que ce soit « Que ma joie demeure ».
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