La première monographie de Frieda Toranzo Jaeger couvre plus de sept ans de pratique artistique et présente 60 oeuvres et huit expositions, avec un essai de Jack Halberstam ainsi qu'une conversation entre l'artiste et Diego del Valle Ríos.
« Painting generates a knowledge like no other, that of the internal world, and it is because of this immediacy that painting affects us most directly. I vandalize the semiotics of cars, their veneers, their engines and emblems in order to destabilize the accepted lexicon of neocapitalist consumption. The ideological power of desire runs in, and at the same time, ruins us. By criticizing the ideologies of hetero-patriarchal capitalism, my paintings give new semiological power to the collective imagery we produce and attempt to decolonize our imaginations and ideas. Conceptualizing utopias and dystopic futures opens a path where we can surrender ourselves to chaos, and propose an alternative future beyond the despair of the present ».
Frieda Toranzo Jaeger
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