Rencontre avec les éditions Charleston, « l’éditeur du féminin !
1927, Années folles. San Francisco est le coeur du commerce de l'alcool illégal, de la lubricité et de la magie noire...
Aida Palmer donne un spectacle de médium sur la scène du Gris-Gris, l'illustre bar clandestin du quartier chinois. Toutefois, sa capacité à faire venir (et renvoyer) les morts est plus qu'un simple numéro.
Winter Magnusson est un contrebandier connu est plus à l'aise avec les revolvers qu'avec les fantômes. Malheureusement, il est la récente cible d'un sort malveillant qui fait de lui un aimant à fantômes.
Après que l'assistance surnaturelle d'Aida eut été retenue pour bannir les revenants, son aura refroidie par la présence des esprits s'enflamme sous un autre type de sort, déployé par le charmant contrebandier... À la recherche du sorcier responsable de la malédiction, Aida et Winter deviennent grisés par la passion. Et plus ils se rapprochent l'un de l'autre, plus ils prennent conscience qu'ils ont chacun leurs propres démons à exorciser...
Rencontre avec les éditions Charleston, « l’éditeur du féminin !
A la limite du fantastique, dans une ambiance très années 20, ce roman se lit vite. Les personnages sont bien décrits quoiqu'un peu froids. Winter, contrebandier, est victime de mauvais sort, découvre l'amour sous les traits d'Aida qui va le désensorceler.
L'amourette des 2 héros prend vite le dessus sur l'intrigue et les faits fantastiques, ça traine un peu en longueur mais c'est quand même divertissant et original.
Le point fort de ce roman est le ressenti de l'époque, la façon de penser, de se vêtir, les interdits...
Me considérant une lectrice plutôt ouverte et curieuse de découvrir de nouveaux genres littéraires, il me prit l’envie –il y a quelques mois- de participer à un des nombreux concours de Lecteurs.com dans l’espoir de gagner un livre d’un genre que je ne maîtrise pas du tout : la romance. Et j’ai gagné ! Le tome 1 de la série Au cœur des années folles : Les esprits amers de Jenn Bennett.
J’ai donc ouvert ce roman telle une néophyte plutôt enjouée au vu de la période historique choisie (les années vingt) et du thème du spectacle et de la contrebande (même si, je dois le reconnaître, l’idée des fantômes me plaisait moins).
À la lecture des premières pages, je me dois d’être honnête, je n’ai absolument rien compris et cela me mettait un peu en colère car je sortais d’une lecture douloureuse (Pars avec lui d’Agnès Ledig qui m’avait déjà passablement énervée) et je ne voulais pas que cela recommence : je ne souhaitais pas renouveler l’expérience d’une lecture qui devient un véritable labeur sans fin.
Mais par honnêteté vis-à-vis de Lecteurs.com, je m’accroche (un livre gagné signifie une chronique ; j’ai beaucoup de retard d’ailleurs). Je m’accroche… Je finis par deviner un peu mieux la trame de l’histoire, je commence à comprendre le lien qui s’instaure entre les personnages principaux. Est-ce typique de la romance ? Je n’en sais rien mais je découvre aussi, au fil des pages, un registre érotique que je ne m’attendais pas à trouver ! Bon an mal an, ce dernier fonctionne plutôt bien pour ma part et je ne reste pas totalement indifférente à ces scènes de forte sensualité, même si, d’un point de vue littéraire, nous pourrions imaginer une autre richesse lexicale. Pour ne prendre qu’un exemple, il existe d’autres synonymes au mot « queue », dont l’utilisation se fait lourde, au bout d’un certain temps.
Par contre, je tiens tout de même à souligner ce que je considère comme un gros point noir et qui a trop souvent gêné ma lecture : Le travail de correction de la maison d’édition DIVA, qui semble presque totalement absent. Est-ce la version que tout un chacun peut acheter en librairie ou un jeu d’épreuves non corrigées ? Je n’en sais rien mais il me paraîtrait irrespectueux vis-à-vis du lecteur de vendre un livre avec autant de coquilles, de fautes d’orthographe et de conjugaison, voire d’incohérences dans la structure même de certaines phrases. J’imagine mal une personne payant neuf euros pour ce livre de poche. Laissons le doute planer… Cela était très certainement un jeu d’épreuves non corrigées.
Mis à part cette (grosse !) faiblesse et malgré une quantité non négligeable de clichés et autres étrangetés, je dois avouer que cette lecture s’est mieux terminée qu’elle n’avait démarré. Ce roman est donc pour moi du domaine du divertissement, dans lequel on retrouve une histoire d’amour « classique », quelques scènes de sexe qui donnent un peu de « croustillant » et un peu de suspens. Un divertissement, rien de plus. Pour certains, cela sera suffisant.
(Chronique qui vient de mon blog: https://unbouquindanslapocheblog.wordpress.com/2017/10/06/au-coeur-des-annees-folles-tome-1-les-esprits-amers-jenn-bennett/ )
Amis lecteurs, bonjour,
Je viens de dévorer ce roman, moi qui apprécie plutôt les thrillers et romans d'épouvante .
Cette histoire d'amour allie l'univers des années folles, aux Etats-Unis, et le domaine de la voyance et des esprits malfaisants .
Les personnages sont vraiment attachants; sexy ; et les descriptions détaillées et réalistes font que l'on se croirait presque sur place, à leurs côtés .
Les scènes d'amour sont croustillantes .
Bonne lecture, en espérant vous avoir donné l'envie de découvrir cette auteure .
Jenn Bennett est une auteure américaine née en Allemagne.Elle est spécialisée dans les fictions jeunes adultes, les romances historiques et paranormales ainsi que les romans imaginaires urbains.Elle a été primé de nombreuses fois.
"Les esprits amers" est le 1er tome de sa série "au coeur des années folles".(Les 3 tomes de cette série sont sortis aux EU entre 2014 et 2015).Le tome 2 "Les ombres sinistres" vient de sortir en France en juillet 2017.Chaque livre peut être lu séparément.
L'histoire commence en 1927 à North Beach à San Francisco.On suit Aida Palmer une jeune femme , belle, vive ,insouciante et indépendante.Elle travaille au gris gris , le plus grand bar clandestin de la ville, en tant que médium.Elle fait venir les esprits de l'au delà et chasse également les fantômes.Un soir , elle fait la connaissance de Winter Magnusson qui a besoin de ses services, vu qu'il a été empoisonné par un sort et qu'il est poursuivi par des fantômes.C'est un homme très grand ,avec une certaine prestance mais qui est défiguré par une cicatrice au niveau du visage.Il est pêcheur le jour et contrebandier la nuit. Cela va donc être un peu la rencontre de la belle et la bête et surtout de deux personnes à qui la vie n'a pas fait de cadeaux.
On va vivre une véritable aventure et ils vont mener l' enquête pour retrouver les commanditaires de l'empoisonnement.(Winter n'a pas que des amis dans le milieu de la contrebande.)On se retrouve alors au sein du quartier chinois qui est loin d'être un lieu sûr.Il va y avoir de nombreux rebondissements et de l'action ce qui donne du rythme à ce roman. De plus nous sommes en pleine romance donc chaque situation est source de rapprochement entre nos deux protagonistes.Ils se cherchent et se désirent tout en voulant s'éviter.Ils jouent au chat et à la souris. Tous les ingrédients de la romance s'y trouvent et il est vrai que jusqu'à la fin on ne sait pas comment leur histoire va se terminer.
J'ai beaucoup aimé comment l'auteure nous a transporté au coeur des années folles grâce à des descriptions très détaillées des tenues, des coiffures, et de la vie de l'époque.On s'y croit vraiment et le décor est bien planté.
Par contre j'ai eu un peu plus de mal à rentrer dans l'histoire dès le début à cause de cette atmosphère mystique , de magie noire et de fantômes.(mais il s'agit quand même d'un roman historique paranormal).
Cela ne m'a pas empêché de passer un bon moment de lecture grâce à cette histoire d'amour improbable.L'écriture est fluide et on ne s'ennuie pas grâce a une très bonne intrigue.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Les meilleurs albums, romans, documentaires, BD à offrir aux petits et aux plus grands
Il n'est pas trop tard pour les découvrir... ou les offrir !
Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
L’écrivain franco-vénézuélien Miguel Bonnefoy poursuit l’exploration fantasmagorique de sa mémoire familiale...