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Début des années 1900, à Royat. Comment une petite fabrique artisanale de chocolats devient une entreprise au succès florissant, grâce à l'alliance d'une fille de confiseur et d'un jeune ingénieur des mines.
En 1889, ce n'était encore qu'un très modeste moulin-chocolaterie. Mais Auguste et Clémentine Roussel, jeunes mariés, ont des idées et de l'ambition. Lui, ingénieur des Mines, a pour réputation de réussir tout ce qu'il entreprend. Elle, fille d'un confiseur réputé de Royat, a su depuis toute petite aiguiser son palais. Guimauves, pralines, dragées et autres douceurs n'ont aucun secret pour elle. Conjuguant leurs talents, Auguste fait le serment de créer " le meilleur chocolat de toute la contrée ", aux arômes et épices subtils...
Comment, en une dizaine d'années, leur modeste entreprise artisanale deviendra-t-elle la florissante enseigne A la Belle Marquise, qui jusqu'à Paris et à l'étranger, fera le bonheur des gourmands et des célébrités ?
Cette histoire romancée, adaptée de faits réels et historiques, pourrait ressembler à un conte de fées si l’ombre menaçante de la « Grande Faucheuse » ne venait en troubler la quiétude, tout au long de l’ouvrage.
A la faveur d’une écriture très élégante et empreinte de sensibilité, Gérard Georges se transforme en véritable « passeur de rêves » et sous nos yeux ébahis, il s’emploie à raviver les us et coutumes de la société provinciale de cette époque. Il nous plonge avec bonheur dans le charme et l’innocence de l’amour et réveille délicieusement nos papilles devant les boules chocolatées, parfumées à la pistache ou parsemées de pralines et de graines de noisettes... Bonne lecture à toutes et à tous et mangez du chocolat : c’est bon pour la santé !
Clémentine et Auguste Roussel fondent leur chocolaterie à Royat à la fin du XIXème siècle. En 1900, ils la baptisent « A la Belle Marquise », suite à une suggestion d’Edmond Rostand, rencontré au Pavillon Sévigné à Vichy. Ils rendent ainsi hommage à la Marquise de Sévigné, elle-même très friande de cette douceur chocolatée. Le couple de chocolatiers emploie Gaétan Narcat, un personnage singulier, un peu naïf mais doté d’une personnalité attachante, dont les mésaventures donnent corps et pimentent un récit bien construit autour d’une intrigue, dominée par un romantisme peut-être un peu trop exacerbé.
En effet, tout est bien qui finit bien…. Cette histoire romancée, adaptée de faits réels et historiques, pourrait ressembler à un conte de fées si l’ombre menaçante de la « Grande Faucheuse » ne venait en troubler la quiétude, tout au long de l’ouvrage.
A la faveur d’une écriture très élégante et empreinte de sensibilité, Gérard Georges se transforme en véritable « passeur de rêves » et sous nos yeux ébahis, il s’emploie à raviver les us et coutumes de la société provinciale de cette époque. Il nous plonge avec bonheur dans le charme et l’innocence de l’amour et réveille délicieusement nos papilles devant les boules chocolatées, parfumées à la pistache ou parsemées de pralines et de graines de noisettes... Bonne lecture à toutes et à tous et mangez du chocolat : c’est bon pour la santé !
Ce roman de simple divertissement flatte les goûts d'un public peu exigeant. Il se lit et se comprend facilement pour la simple raison qu'il n'y a rien à comprendre dans ce livre. Le style mêle termes soutenus et expressions toutes faites. Les personnages sont soit inexistants soit caricaturaux. L'intrigue ne présente guère d'intérêt. Il tient du roman de gare et du roman à l'eau de rose.
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