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ORLANDO 6 HEURE DU MATIN.
Orlando n'est pas une ville.
Autoroutes, longues avenues, nombreux parcs d'attraction et un petit centre d'opérette qui jouxte des ghettos à éviter.
Comment raconter une ville qui n'existe pas ?
Avec le décalage horaire, je suis réveillé tôt. Je sors de l'hôtel.
Je me retrouve sur International Drive dans un décor de série télé. Il est 6 h du matin. Dans la rue, il ne se passe rien. Tout semble aseptisé, noyé dans le brouillard matinal. Une vie au ralenti. Avant l'ouverture des magasins, je photographie, je marche, je regarde.
Je me fixe une heure de prise de vue. Jusqu'à 7 h, moment où le buffet de l'hôtel ouvre pour le breakfast. Au fil des matins, je commence à repérer plusieurs trajectoires humaines qui se croisent et s'ignorent.
Entre 6h et 7h, la vie sociale se met en place, petit à petit.
Comment raconter en images ces trajectoires urbaines parallèles ?
Je suis allé quatre fois à Orlando. Et chaque fois, j'ai photographié pendant une heure, de 6h à 7h du matin.
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