Tracy Chevalier déplace les éléments de la tragédie de Shakespeare dans la cour de récréation d’une école primaire...
Tracy Chevalier déplace les éléments de la tragédie de Shakespeare dans la cour de récréation d’une école primaire...
Si je n'avais pas connu le nom de l'auteur, je n'aurais jamais imaginé qu'il s'agissait de Tracy Chevalier..
Elle qui d'ordinaire m'embarque dans des histoires de femmes au destin passionnant , ici m'a fait tourner en rond dans une école avec des situations pas toujours crédibles.
Si je n'avais pas su que l'enjeu était de transposer une œuvre de Shakespeare, je n'aurais pas pensé qu'il s'agissait d'une réécriture d’Othello.
Bref ce fut une déception et j'avais vraiment hâte de terminer le livre.
Dans une banlieue américaine, un nouveau arrive pour le dernier mois de l'année scolaire,
or il est noir dans une école 100% blanche.
Comme dans ses précédentes écoles, son intégration ne va pas être facile.
Mais quelle idée a eue Tracy Chevalier de réécrire Othello dans une école primaire, et en plus sur une seule journée.
J'ai eu l'impression de tourner en rond ; de me trouver face à des situations incohérentes, de m'ennuyer beaucoup.
La brodeuse de Winchester - Tracy Chevalier
1932, Tracy Chevalier nous conte l’histoire des brodeuses anglaises qui ont existé ! Les broderies de ces femmes sont encore visibles à la cathédrale de Winchester.
À cette époque, après la Première Guerre mondiale, de nombreuses femmes sont restées célibataires. Appelées « excédentaires », elles étaient reléguées au second plan dans une Angleterre encore très régentée.
Le célibat représentait aussi une difficulté quotidienne : il fallait parfois choisir entre se chauffer ou se nourrir.
Dans ce contexte austère, l’autrice, comme à son habitude, nous plonge dans l’histoire en respectant les codes anglais et les enrichis d’un vocabulaire adapté.
Les personnages sont tour à tour dépeints à travers leur foi anglicane et la dureté de leur condition.
Cette histoire lie une brodeuse et un sonneur de cloches, et l’amour de l’Histoire résonne à travers les pages.
Un très beau roman, même si l’intrigue n’est pas des plus palpitantes.
La famille Rossi est une grande famille de verriers à Murano.
A la mort du père, les affaires vont un peu moins bien et la plus jeune des filles, Orsola, se lance alors dans la fabrication de perles de verre.
Elle a de la personnalité et de la ténacité.
C'est avec grand plaisir que je l'ai suivie, entre Murano et Venise, au sein d'une famille pas toujours facile.
J'ai lu avec plaisir plusieurs livres de l'auteure, il y a un certain temps.
Mais bizarrement, je n'étais pas tentée de recommencer.
Et ça aurait été bien dommage car je me suis régalée dans les rues de Venise.
J'ai suivi avec beaucoup d'intérêt la vie d'Orsola à travers les siècles.
Et oui, parce que commençant peu avant 1500, on arrive de ricochets en ricochets jusqu'à nos jours.
C'est ça la magie d'un roman, toutes les possibilités sont ouvertes.
Une belle lecture plaisir que je ne regrette pas.
Avis très mitigé et plutôt déçue par cette lecture
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