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Ce deuxième tome entraîne Igguk dans les entrailles de la terre, au tertre de la Reine, où loge le cerbère qui protège d'immenses trésors.
Ce second opus est franchement en dessous de la moyenne. Le scénario est vraiment de plus en plus nébuleux. Il donne la sensation que Civiello s'est inspiré de plusieurs histoires, à fait ensuite un mélange, et nous propose ce mix. Il a un arrière goût de quelque chose, mais sa trame est complètement perdue dans des méandres compliqués. Encore une fois, nous sommes subjugués par le talent d'illustration de Civiello.
En parlant de texte, j'avais été choqué de temps en temps par le vocabulaire utilisé, mais ce deuxième épisode est encore plus anachronique. Il y a des expressions qui n'ont rien à faire dans un univers tel que celui-ci. Le choix des auteurs à ce niveau est vraiment contestable et fait perdre le peu de crédibilité que cette saga pouvait avoir.
C'est pas très bon, mais on continue la saga car le travail de Civiello est carrément époustouflant.
Ce quatrième tome de la série Korrigans est le dernier de cette saga qui nous a mené dans l'univers parallèle des lutins. Balor, l'être maléfique ayant commandité l'enlèvement de quelques humains, arrive au terme de son plan dans lequel il va pouvoir casser le charme le retenant prisonnier de son île pour ensuite conquérir le monde.
Cet album est le plus épique de tous, même si encore une fois, la faiblesse reste le scénario. Mais les rebondissements commencés dans l'album précédent se confirment pour essayer de nous surprendre. Le texte est mieux travaillé, même s'il est aussi inexistant que d'habitude, il est plus efficace.
L'atout de cette série est le talent de Civiello et son dessin magnifique. En revanche, dans cet album, il apparaît que le graphisme est moins bien travaillé, certaines cases sont mêmes un peu bâclées et c'est vraiment dommage, car nous nous attendions à un dernier album explosif, mais finalement ce n'est pas le cas.
En somme, cet album est vraiment décevant. Il est loin de nos attentes et Civiello qui tenait à bout de bras cette série s'est essoufflé sur la dernière ligne droite.
Dans ce troisième épisode, Luaine et les Korrigans arrivent à convaincre le peuple de Dana de partir en guerre contre Balor. Une formidable armade quitte l'île pour rejoindre celle de Balor où il réside dans sa forteresse. Mais la mère de Luaine se réveille et les étranges pouvoirs de sa fille leur permettent de communiquer.
Cet album est mieux travaillé au niveau scénaristique. Des rebondissements permettent aux personnages de se trouver dans des situations litigieuses. La ressemblance est toujours aussi frappante avec le SdA, l'inspiration est flagrante et parfois nous sentons que l'auteur n'est pas arrivé à s'en détacher pour créer quelque chose de plus personnel, c'est dommage. Parce que finalement, en essayant de créer une histoire fantasy mêlant mythe et légende avec une inspiration prononcée de Tolkien, l'auteur propose alors une pâle copie du SdA. A vouloir faire un récit épique sans vouloir ressembler au grand Tolkien, il est tombé complétement dans le récit de Tolkien et les pièges du quasi plagiat. Ce qui ne veut pas dire que l'on n'aime pas l'histoire, mais elle est sans surprise.
Au niveau du graphisme, les décors sont encore plus différents que dans le précédents albums. Civiello s'amuse à créer des ambiances multiples d'une page sur l'autre pour notre plaisir. La qualité des traits des personnages est impressionnante. Encore une fois, le travail de Civiello est magnifique.
En somme, et comme les précédents album, le graphisme est l'atout de cet album, parce que sans ça, ce serait assez moyen.
Une BD vraiment unique.....
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