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New-York, 1940Navit, une jeune artiste, hérite d'un magazine de charme désuet, "Gentlemind". S'improvisant patronne de presse dans un monde macho, elle décide de se battre pour en faire un magazine moderne.
Jusqu'en décembre 1975, c'est plus de 30 années d'évolution des États-Unis mais aussi 30 années de changement du monde que l'on regarde à travers le prisme de « Gentlemind », magazine qui tente de se frayer un succès entre Esquire et Times.
Le scénario riche de Teresa Valero et Juan Diaz Canales est sublimement mis en valeur par le travail d'Antonio Lapone. Son style proche de Yves Chaland, excelle dans un dessin vintage dynamique où fleurissent les inspirations pub et illustrations d'époque (les fameuses pin-ups). Réjouissant !
Encore un joli cadeau à faire pour les fêtes. Cette belle intégrale soignée a une couv spéciale, contient évidemment les deux tomes et un cahier graphique final remarquable, conçu comme le catalogue d'une exposition consacrée à Arch Parker que tu découvriras en lisant Gentlemind !
« Comment une femme peut-elle diriger une revue pour hommes ? »
Suite et fin du diptyque Gentlemind que l’on attendait avec impatience. Quel plaisir de retrouver cet univers des années 40-50, ces couv de magazines, ce dessin vintage et explosif de Antonio Lapone.
De juin 1945 à décembre 1975, c’est 30 années d’évolution des États-Unis mais aussi 30 années de changement du monde que l’on regarde à travers le prisme de « Gentlemind ». Cette revue pour hommes est donc dirigée par Navit, une femme qui s’efforce de placer son magazine en haut des titres à succès.
Dans ce deuxième tome, Gentlemind va tout connaître : la réussite, les soubresauts politiques, les conflits d’égo… et le retour d’Arch Parker, illustrateur dont Navit était tombée amoureuse.
C’est toujours aussi impressionnant graphiquement, élégant, foisonnant, expressif, le dessin de Lapone suit à merveille l’évolution de la société.
Au final, c’est avec un peu d’émotion que j’ai refermé « Gentlemind »… Le beau cahier graphique de fin me donne envie d’y retourner…depuis le début !
Un très bon troisième et dernier tome pour cette trilogie de Sorcelleries.
Nous y retrouvons, encore une fois, tous les personnages qui font de cette histoire une parodie de notre société actuelle : société de consommation, émissions de télé-réalité qui envahissent nos programmes de télévision...
Et en parallèle de cela, la trame principale : la recherche de Hazel par son peuple.
Cette série de bande dessinée est loufoque mais rafraîchissante. J'ai adoré. Les traducteurs/rices ont réussi avec brio et succès à nous régaler avec les jeux de mots. C'est une réussite.
Une bande dessinée jeunesse sur les sorcières très drôle. Elle se lit vite. Les personnages sont attachants. Je lirai la suite avec plaisir.
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