Et si vous faisiez le plein de sérénité et de bienveillance pour aborder la nouvelle année ?
Et si vous faisiez le plein de sérénité et de bienveillance pour aborder la nouvelle année ?
Pas facile de s aimer soi-même, je ne connais pas cet auteur , un livre est le titre m a plus je ne regrette pas de l avoir reçue à lire il ma fait découvrir certaines choses très interessante sur soi-même
Après ma lecture en demi-teinte de "Le jour où je me suis aimé pour vrai" du même auteur, j'ai voulu découvrir cet autre classique de Serge Marquis. L'auteur avait connu un franc succès lors d'une intervention qu'il a faite auprès des personnels de la Collectivité qui m'emploie et à laquelle je n'avais pu assister.
On part ici à la rencontre de ce fameux Pensouillard, petit hamster qui s'agite dans le bocal qui nous sert de cerveau et génère des angoisses, du stress et autres perturbations qui nous empêchent d'apprécier simplement le moment présent et les personnes qui nous entourent. Autre petit nom pour M. le hamster : l'EGO ! Et oui, parce que tout tourne décidemment autour de lui.
J'ai encore eu un peu de mal avec cette lecture, ne voyant pas trop ce que je pouvais en tirer, comment je pouvais synthétiser le propos de l'auteur pour mieux me l'approprier et qu'il me soit utile dans mon quotidien.
En synthèse : vivez l'instant présent et LÂCHEZ-PRISE !!! C'est pour votre bien.
Lien : https://itzamna-librairie.blogspot.com/2019/06/on-est-foutu-on-pense-trop-comment-se.html
Attention, vous ne lirez pas là un roman classique. Car Serge Marquis est un spécialiste québécois en santé communautaire et santé mentale au travail. Il s'est intéressé à de nombreuses problématiques autour de la santé au travail.
S'il s'agit d'un livre de développement personnel, c'est aussi un roman pas toujours facile. Parce que si Maryse est neuropédiatre, elle travaille dans un service pour enfants atteints du cancer. Et forcément, si certains s'en sortent, ce n'est pas le cas de tous. Par ailleurs, Charlot, le fils de Maryse, est atteint d'une maladie qui le rendra progressivement aveugle. On croise aussi dans ce livre des enfants qui subissent des harcèlements à l'école, un autre qui se suicidera, une jeune fille qui muette qui se remet à parler avant de déclarer un cancer du sang…
Oui, bon, énuméré comme ça, ce n'est pas très enthousiasmant. Mais cela n'est pas vraiment le sujet du livre. C'est l'égo qui est au cœur de ce roman. L'égo qui empêche Maryse de voir ceux qui l'aiment, l'égo qui lui fait rechercher la lumière, la reconnaissance et les paillettes, au détriment de sa relation avec les autres, avec son fils. L'égo qui l'empêche d'aimer vraiment, de s'aimer elle mais aussi d'aimer les autres.
Dans ce roman, ce sont les enfants et leurs douleurs qui vont permettre à Maryse, et aux lecteurs par la même occasion, de comprendre ce que détruit l'égo en nous même, dans notre relation aux autres. Comprendre combien la recherche de la lumière, de la reconnaissance et du regard des autres nous empêche d'être vraiment présent pour les autres, d'être ici… et pour nous même.
Pour ma part, j'ai apprécié ce questionnement autour de l'égo, autour de la confiance qui permet d'être tout simplement soi, sans nécessité de se distinguer, d'être meilleur ou plus intelligent que l'autre. Par contre le récit en lui-même ne m'a pas touché : trop de souffrances, de drames, de pathos. Je n'ai pas été touchée par les personnages, qui parlent comme des livres, par ces enfants qui font la leçon aux adultes et qui poussent tout seuls, par ces adultes qui ne pensent qu'à eux et sont irrités des leçons de leurs enfants. Les personnages m'ont particulièrement agacée.
Je pense que la démonstration de Serge Marquis aurait pu être toute aussi concluante avec un autre contexte, moins pesant, moins dramatique.
https://itzamna-librairie.blogspot.com/2019/01/le-jour-ou-je-me-suis-aime-pour-de-vrai.html
Bienvenue parmi les humains est un recueil de fables en prose qui, à la manière de La Fontaine, emploie la métaphore pour illustrer une vision positive et réfléchie de l’être et du bien-être.
C’est une tortue déprimée, une girafe qui se trouve laide, un cheval amoureux ou une éponge rêvant de devenir « l’éponge suprême », qui vous nous montrer comment l’égo kidnappe l’âme alors que seule la « présence » la libère. Car les humains n’ont plus « le goût de leur âme », seule leur apparence compte.
Les fables sont suivies par deux analyses appelées « clés », l’une déchiffre les réactions venant de notre cerveau reptilien, mû par nos seuls besoins et fonctions vitales, et l’autre, plus poussée, « la clé pour les cerveaux gauches », analyse les conséquences de nos comportements primaires sur notre propension à vivre heureux.
La morale est qu’il faut avant tout révéler ce que l’on est, notre présence, plutôt que mettre en avant ce que les autres voient de nous, notre égo.
Je n’ai pas compris toutes les métaphores et allusions de ces fables et, sans les clés, je n’aurais pas saisi le propos de l’auteur. Ce style d’écriture est, soit trop simple, soit trop complexe pour moi, et je n’ai pas été emballée par ce mode de narration.
Mais le sujet est intéressant et il nous laisse des pistes pour mieux vivre avec nous-mêmes.
Merci au site lecteurs.com et aux Editions de La Martinière pour ce livre.
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