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Antonio a quinze ans lorsqu'il voit son père pour la dernière fois.
Son père est un magicien qui vit dans une caravane avec une troupe de théâtre et de cirque.
Antonio vit chez sa mère, pas très présente car il faut bien gagner sa vie et celle de son fils. Ça tombe bien, Antonio préfère la relation avec sa camarade d'école Ornella, aux heures sans intérêt passées chez lui auprès de sa mère.
Lorsqu'il peut enfin toucher la peau d’Ornella, et même aller plus loin avec délice, même si elle sait que ce ne sera jamais une histoire qui dure avec ce gadjo à moitié gitan.
C'est encore l'année de ses quinze ans qu'il décide d'arrêter l'école. Pour faire quoi à la place ? Il n'en sait rien mais il va bien trouver.
En attendant, comme il était avec son père l'après-midi avant sa mort, Antonio comprend qu’il y a quelques chose de louche dans cet incendie de caravane providentiel.
Mais à cet âge, est-on armé pour mener une enquête ? Surtout lorsqu'on ne sait pas à qui on peut se fier.
Il faut dire que dans le milieu dans lequel vit son père, les gens bougent beaucoup de ville en ville, et se soutiennent
le vent semble souffler du mauvais côté.
Alors il cherche Antonio, seul la plupart du temps, et chacun de vouloir lui mettre des bâtons dans les roues lorsqu'il s'approche trop près de certaines révélations.
Une quête qui le mène au plus près d'une secte diabolique et du monstre de Florence. Le rythme est soutenu, l'entraide est présente mais pas trop prégnante, on est davantage sur du chacun pour soi
Un roman qui tient plus de la nouvelle, et que j'aurais aimé un peu plus fouillé, un peu plus dense, mais que j'ai eu plaisir à découvrir.
https://domiclire.wordpress.com/2025/02/09/le-fils-du-magicien-sandrone-dasieri/
Un thriller historique mêlant récit d'apprentissage, où l'on suit un adolescent Anto qui enquête après la mort de son père. Une lecture très courte, à travers le point de vu d'Anto, un jeune garçon pas vraiment attachant. L'autrice c'est inspirée du Monstre de Florence ayant fait trembler la Toscane de 1968 à 1985. Une histoire agréable même si le finale est brut. Un thriller young adult sans trop de suspense.
Lecture agréable, un contexte forain que je découvre et qui me semble être un terrain intéressant pour le polar. J'ai aimé suivre ce jeune garçon dans son enquête autour du Monstre de Florence. Mais, cela dit, le roman de Sandrone Dazieri ressemble un peu à une ébauche, on a le sentiment qu'il a terminé l'ouvrage dans l'urgence et c'est dommage. J'aurais aimé qu'il fouille davantage, notamment dans un dénouement un peu négligé à mon goût, qui laisse un léger sentiment de déception au lecteur. Sandrone Dazieri reste un auteur à suivre, sa trilogie était une vraie réussite, je suis persuadée qu'il n'a rien perdu de son talent.
Plongeons dans l'Italie des années 90 ! Vous cherchez une lecture dépaysante? "Le Fils du Magicien" de Sandrone Dazieri pourrait bien être votre prochain coup de cœur ! 179 pages suffisent pour nous emmener en Toscane, là où les roulottes des forains côtoient les secrets les plus sombres. Imaginez un peu : Antonio, 15 ans, paumé comme on peut l'être à cet âge, se retrouve d'un coup orphelin. Son père, un magicien de foire, est retrouvé carbonisé dans sa caravane. Mais attention, ce n'est pas un simple accident... Un bouquet de roses rouges à l'envers plane au-dessus du corps. Flippant, non ? Notre ado, pas du genre à baisser les bras, se lance dans une enquête qui va le faire grandir plus vite qu'il ne l'aurait voulu. Entre les manèges et les stands de tir, il va croiser des personnages pas très nets qui m'ont franchement donné la chair de poule ! Dazieri a un truc bien à lui : il mélange habilement fiction et réalité. L'affaire du Monstre de Florence, ça vous dit quelque chose ? Bah voilà, c'est le fond historique sur lequel il brode son histoire. Perso, j'aurais aimé qu'il creuse encore plus ce filon. Le style d’écriture, fluide et immersif, maintient efficacement l’attention du lecteur. En adoptant le point de vue d’Antonio, l’auteur donne à l’histoire une dimension initiatique, où l’adolescent se retrouve face à une réalité crue qui ébranle toutes ses certitudes. L'histoire, même si elle manque parfois un peu de chair, vous tient quand même en haleine. L'auteur nous fait un petit cadeau à la fin. Il nous parle des vrais événements qui l'ont inspiré. Ça donne une tout autre dimension au bouquin. Si vous cherchez une lecture sympa pour un week-end pluvieux, je dirais foncez ! Et qui sait, peut-être que comme moi, vous aurez envie d'en savoir plus sur cette fameuse affaire du Monstre de Florence après ça ! https://latelierdelitote.canalblog.com/2025/01/le-fils-du-magicien.html
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