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Pierre Moustiers

Pierre Moustiers

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Avis sur cet auteur (4)

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    Couverture du livre « La mort du pantin » de Pierre Moustiers aux éditions Gallimard

    Yves Lambert sur La mort du pantin de Pierre Moustiers

    La mort du pantin - Pierre Moustiers

    François Morel est un homme satisfait de lui-même et de sa position sociale.

    Il a une femme, Marianne, et Brigitte, sa secrétaire et amante.
    Son médecin traitant va lui diagnostiquer un cancer. Un cancer incurable pour lequel il lui reste 6 mois à 2...
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    La mort du pantin - Pierre Moustiers

    François Morel est un homme satisfait de lui-même et de sa position sociale.

    Il a une femme, Marianne, et Brigitte, sa secrétaire et amante.
    Son médecin traitant va lui diagnostiquer un cancer. Un cancer incurable pour lequel il lui reste 6 mois à 2 ans de vie.

    Il voudra conserver, dans la solitude, le diagnostic pour lui, comme ses états d’âme, ses forces et ses faiblesses.

    Mais sa vie passée le rattrape. Ses enfants vont lui servir d’espoir et il va se plier en quatre pour répondre à ses manquements.

    Dans une belle littérature avec un vocabulaire à la juste mesure, l’auteur va décortiquer dans la propre conscience de son personnage les soubresauts, les pensées les plus affûtées de François Morel : ses angoisses, sa sensibilité, sa fermeté de chef d’entreprise, la mort qui le tire comme un pantin par des fils.
    Un classique qui nous touche tous puisqu’il s’agit de notre quotidien : notre engagement dans le travail, dans notre vie familiale ; et la vision de la mort.

    Un coup de cœur pour ce roman soigné dans le combat d’une vie.

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    Couverture du livre « Saskia » de Pierre Moustiers aux éditions Albin Michel

    Martine Boutrois sur Saskia de Pierre Moustiers

    Un livre qui se lit tres vite, avec une écriture fluide et non exigeante. Il aurait pu, à mon humble avis, être developpé

    Un livre qui se lit tres vite, avec une écriture fluide et non exigeante. Il aurait pu, à mon humble avis, être developpé

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    Couverture du livre « Le dernier mot d'un roi » de Pierre Moustiers aux éditions Albin Michel

    Bagus35 sur Le dernier mot d'un roi de Pierre Moustiers

    Louis XI se meurt ,il voudrait pouvoir continuer à gouverner son royaume et son destin mais ses maigres facultés l'en empêche .Il va quand même lui falloir préparer sa succession désireux de la postérité du royaume de France seulement Charles ,un peu chétif ,n'a que 13 ans et va devoir se...
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    Louis XI se meurt ,il voudrait pouvoir continuer à gouverner son royaume et son destin mais ses maigres facultés l'en empêche .Il va quand même lui falloir préparer sa succession désireux de la postérité du royaume de France seulement Charles ,un peu chétif ,n'a que 13 ans et va devoir se méfier des félons et ennemis de l'état qui ne vont pas manquer d'ourdir des complots contre le futur roi.Un bon roman historique.

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    Couverture du livre « La grenade » de Pierre Moustiers aux éditions Albin Michel

    Colette LORBAT sur La grenade de Pierre Moustiers

    Ainsi commence le roman : « Maurice Théaud naquit le 13 avril 1964 à l’âge de trente-neuf ans. Il s’était contenté jusqu’à ce jour de vivre à l’étouffé, comme un œuf…. ».
    Le ton est mis. Maurice, raté, Monsieur Catastrophe Ambulante va d’échec en échec. Il a réussi à épouser une charmante...
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    Ainsi commence le roman : « Maurice Théaud naquit le 13 avril 1964 à l’âge de trente-neuf ans. Il s’était contenté jusqu’à ce jour de vivre à l’étouffé, comme un œuf…. ».
    Le ton est mis. Maurice, raté, Monsieur Catastrophe Ambulante va d’échec en échec. Il a réussi à épouser une charmante bourgeoise qui n’en peut plus de ce mari "gaffomane" et vivote dans un petit appartement entre sa mère et sa femme. Du matin jusqu’au soir, ce ne sont que mésaventures ; un vrai catalogue !!!!. Adulte, il est devenu représentant en laxatif !!!! le Fluvex pour être exact
    « Depuis l’école maternelle sa maladresse passait pour exemplaire dans la famille et dans les environs. On citait ses mésaventures chaque fois qu’il s’agissait d’animer un repas et de faire rire un invité taciturne. Un jour, il avait réussi en un tournemain à renverser quatre récipients à la fois. »
    La seule chose qui le sortait de son hébètement, était la présence d’Odile et le souvenir du grenadier.
    Mais, un jour, il franchit la porte du docteur Kowak et tout changea. Il raconta tout depuis le début. Ce bon docteur lui sortit « Vous êtes bourré d’influx, chargé d’électrons: un radar sur pile atomique, mon cher ! Pardonnez-moi ! Je reconnais que la comparaison manque de poésie. En fait, l’image qui me vient à l’esprit est celle d’un fruit compact, d’une grenade… sous l’écore, on est émerveillé par ces grains translucides répartis dans des alvéoles qui ne laissent aucun espace entre eux… » Est-ce le rappel à la grenade, est-ce autre chose, toujours est-il qu’il devint talentueux, réussit tout ce qu’il entreprit. Il comprit et admit qu’il pouvait influencer la vie des autres, de comprendre ce qu’ils avaient en tête. Mais, l’instant de griserie passé en est-il pour autant pour heureux ? car il manque quelque chose à Maurice pour entrer dans la plénitude du bonheur, chose que l’on découvre à la fin du livre
    C’est avec belle écriture classique que Pierre Moustiers a concocté ce petit chef-d’œuvre qui entre dans ma liste « à faire du courage ». Mais ne croyez pas pour cela que ce livre est mièvre, au contraire il y a dedans pas mal de vacheries énoncées calmement « souhaita un bon anniversaire à Aline qui lui tendit la joue d’un air satisfait : tu fais des progrès. L’an dernier tu t’étais trompé de 15 jours… »…. » « Mérite amplement le sobriquet que ses condisciples lui ont donné. Quel sobriquet ? demanda Virginie la gorge sèche. – Lahuri ! répondit Maurice sur un ton neutre. – Comment ? s’écria Virginie – Lahuri sans apostrophe, précisa Maurice »

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