Né après-guerre, le jour de la chandeleur 1946… à Panazol, en pleine campagne Limousine, Michelarmand CHATARD a découvert en même temps que la station verticale, le monde de la nature.
Le dessin, la gouache, la photographie, les arts graphiques en général, ont enrichi très tôt son imaginaire, ...
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Né après-guerre, le jour de la chandeleur 1946… à Panazol, en pleine campagne Limousine, Michelarmand CHATARD a découvert en même temps que la station verticale, le monde de la nature.
Le dessin, la gouache, la photographie, les arts graphiques en général, ont enrichi très tôt son imaginaire, et le poursuivent. À vingt ans il édite un recueil de ses poèmes d’adolescent : Griseries.
Son premier roman L’Hortensia reste inachevé comme ses premières amours qu’il y raconte.
Le travail manuel diurne, à la ferme, remisait les lectures, à une occupation nocturne, sous les draps !
Rassurez-vous, il ne se cache plus pour lire ! Les E.N.P, C.E.T. et autres cours supplémentaires vont faire l’autodidacte d’aujourd’hui. / La carte perforée l’a conduit à la puce électronique. Il fallait nourrir la famille.
Le compte de ses annuités étant bon, et pour des raisons de santé il y a quelques années il a dû stopper brutalement plein de responsabilités associatives. Pendant les longues périodes de repos forcé qui suivirent, il a classé, relus, informatisé divers écrits : type notes au quotidien. Allez savoir pourquoi les périodes noires de son demi-siècle d’existence lui parurent intéressantes pour en faire des bouquins définitifs.
Il venait de trouver un but pour continuer à vivre loin de mon Limousin natal.