Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
Avec « Brassens et moi » , Maxime Le Forestier raconte leur rencontre, le partage d’une scène puis le premier dîner et les reprises à deux guitares, puis cette amitié très paternelle de Brassens pour son protégé.
En racontant combien les partitions de Brassens ont accompagné son adolescence pour la découverte de la guitare, Maxime le Forestier détaille la filiation toute amicale qui existent entre ces deux compositeurs. C’est l’anticléricalisme de Brassens qui ouvrira en premier un univers de pensés à explorer pour le jeune Maxime.
Fils spirituel d’un père qui ne voulait pas d’enfant, Maxime Le Forestier présente l’homme, son engagement notamment en amitié, sa passion des mots et sa fidélité amoureuse.
Brassens, selon Maxime le Forestier, continuait à travailler ses chansons, même sur scène. Alors que lors d’un récital, les rares sourires qui précédaient une vanne venaient perturber un agencement qui semblait être réglé au millimètre. Pour un anniversaire, Brassens réclame un « trou du souffleur ». Car avec toutes les versions qu’il invente, il ne s’en souvient plus. Alors, antisèches et souffleur, il fallait prévoir !
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https://vagabondageautourdesoi.com/2021/04/09/maxime-le-forestier-brassens-et-moi/
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
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