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Karin Kalisa

Karin Kalisa
Née en 1965, Karin Kalisa a vécu à Hambourg, Tokyo et Vienne avant de s'installer à Berlin. Chercheuse, elle est linguiste, philosophe et spécialiste de la culture asiatique. Berlin sauce nuoc-mâm, qui a remporté un grand succès en Allemagne, est son premier roman.

Avis sur cet auteur (4)

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    Couverture du livre « La mélodie familière de la boutique de Sung » de Karin Kalisa aux éditions Heloise D'ormesson

    Madame Tapioca sur La mélodie familière de la boutique de Sung de Karin Kalisa

    Lecture dans le cadre du prix des lecteurs du Livre de Poche 2018.
    Un livre qui déborde de bons sentiments..... Un livre sur le rapprochement des peuples, le cosmopolitisme, la tolérance.
    Avec en toile de fond l’idée que ça vaut la peine de sortir des sentiers battus, qu’il y a tellement de...
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    Lecture dans le cadre du prix des lecteurs du Livre de Poche 2018.
    Un livre qui déborde de bons sentiments..... Un livre sur le rapprochement des peuples, le cosmopolitisme, la tolérance.
    Avec en toile de fond l’idée que ça vaut la peine de sortir des sentiers battus, qu’il y a tellement de choses à découvrir et à expérimenter en dehors de son milieu.
    C’est frais, c’est mignon et puis voilà.... On ne s’ennuie pas bien sûr, mais bon... Roman détente sans doute (et les amateurs du genre ne seront pas déçus) mais un livre qui ne mérite sûrement pas un prix.

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    Couverture du livre « La mélodie familière de la boutique de Sung » de Karin Kalisa aux éditions Heloise D'ormesson

    GeorgesSmiley sur La mélodie familière de la boutique de Sung de Karin Kalisa

    Pfff ! Comment ne pas être trop désagréable ? Essayons tout de même ! Voilà un gentil petit roman dont le but est d’informer le lecteur ignorant qu’il existe à Berlin, dans le quartier de Prenzlauer Berg, une population d’origine vietnamienne, gentille, modeste et travailleuse. On y apprend...
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    Pfff ! Comment ne pas être trop désagréable ? Essayons tout de même ! Voilà un gentil petit roman dont le but est d’informer le lecteur ignorant qu’il existe à Berlin, dans le quartier de Prenzlauer Berg, une population d’origine vietnamienne, gentille, modeste et travailleuse. On y apprend également que le Vietnam étant un pays très aquatique, on y construit des « ponts de singe » et on y joue des spectacles, fort prisés, de marionnettes d’eau. On y découvre que les premiers immigrants sont arrivés du Nord (Vietnam) comme travailleurs invités par le « pays frère » d’Allemagne de l’Est et que les débuts ont été très difficiles.Mais quand on est gentil, modeste et travailleur, tout finit par s’arranger, n’est-ce-pas ? Voilà c’est à peu près tout…Ah ! J’allais oublier: les autres habitants de Berlin Prenzlauer Berg (les Allemands, quoi) sont eux aussi très gentils, accueillants et ouverts aux autres cultures, à tel point que certains d’entre eux auraient fini par remplacer leur déplorable alimentation de rue à base de wurst,* par des fruits exotiques vendus dans les épiceries vietnamiennes du quartier.
    Il semblerait que c’est ce qu’on appelle un « roman qui met le sourire aux lèvres* », le fond de ma pensée étant que ne souriront que ceux qui ont une envie permanente et béate de sourire; quant aux autres, dont je fais partie, qui s’intéressent et aiment le Vietnam, il ont tant de grands et beaux livres à lire comme Terre des oublis, le Sympathisant, Ru, Riz noir ou Un Américain bien tranquille.
    *saucisse
    *avis de la revue Lire

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    Couverture du livre « La mélodie familière de la boutique de Sung » de Karin Kalisa aux éditions Heloise D'ormesson

    Magali Garnero de A LIVR'OUVERT sur La mélodie familière de la boutique de Sung de Karin Kalisa

    Tout commença car des élèves de 6è avaient malmené un plus petit élève d'origine gambienne. Le recteur avait envoyé une note au directeur du genre : «Faire progresser l'école en matière d'entente entre les peuples». Et c'est comme cela que, dans cette école au coeur de l'ancien Berlin Est, une...
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    Tout commença car des élèves de 6è avaient malmené un plus petit élève d'origine gambienne. Le recteur avait envoyé une note au directeur du genre : «Faire progresser l'école en matière d'entente entre les peuples». Et c'est comme cela que, dans cette école au coeur de l'ancien Berlin Est, une semaine cosmopolite avait été organisée. À ce moment-là personne ne se doutait des conséquences multiples que tout cela allait déclencher...
    Un petit d'origine Vietnamienne qui arrivait avec sa grand-mère et une marionnette d'eau allait inspirer plusieurs institutrices, soit pour se coudre une robe estival, soit pour fabriquer d'autres marionnettes pour manifester contre le manque de place dans la dite école. Insidieusement, ou innocemment, la culture et la tradition vietnamienne coloraient de petites touches le quartier de Prenzlauer Berg : des chapeaux pointus, des marionnettes, de vieux légumes oubliés, des ponts en bambous et enfin un spectacle qui allait attirer un nombre incroyable de personnes venues de tous pays. Qui l'aurait cru ?

    Magnifique premier roman qui vous met le sourire aux lèvres. Famille, éducation, moments de joies, échanges et partages !

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    Couverture du livre « La mélodie familière de la boutique de Sung » de Karin Kalisa aux éditions Heloise D'ormesson

    Dominique Sudre sur La mélodie familière de la boutique de Sung de Karin Kalisa

    Berlin, dans le quartier de Prenzlauer berg, la fête de l’école s’annonce chaleureusement classique. Mais le directeur à une idée farfelue, demander à chacun des enfants d’étrangers, d’émigrés, de son école de venir avec un objet représentant son pays d’origine.
    Quel joli moment d’échange,...
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    Berlin, dans le quartier de Prenzlauer berg, la fête de l’école s’annonce chaleureusement classique. Mais le directeur à une idée farfelue, demander à chacun des enfants d’étrangers, d’émigrés, de son école de venir avec un objet représentant son pays d’origine.
    Quel joli moment d’échange, d’ouverture vers l’autre, de rêve idéalisé d’entraide, de partage, d’échange, de joies communes et de vie plus sereine. C’est une drôle d’aventure terriblement optimiste qui se déroule dans ces pages-là, on voudrait bien t que cette expérience se répète dans nos villes.

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