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Jean-Claude Martin

Jean-Claude Martin
Jean-Claude MARTIN a créé en 1999 la société Résonance 4, qui forme les dirigeants d'entreprise aux techniques de communication. Il allie dans ses livres son expérience d'ancien comédien à la rigueur scientifique du chercheur. Il est l'auteur du Guide de la communication (Marabout, 50 000 ex.), 5... Voir plus
Jean-Claude MARTIN a créé en 1999 la société Résonance 4, qui forme les dirigeants d'entreprise aux techniques de communication. Il allie dans ses livres son expérience d'ancien comédien à la rigueur scientifique du chercheur. Il est l'auteur du Guide de la communication (Marabout, 50 000 ex.), 5 minutes pour convaincre (12 000 ex.) et La bible de la communication non verbale (5 000 ex.). Il vit à Paris.

Avis sur cet auteur (1)

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    Couverture du livre « Raison garder » de Jean-Claude Martin aux éditions Eclats D'encre

    Regine Zephirine sur Raison garder de Jean-Claude Martin

    La poésie est intemporelle ce recueil le démontre en papillonnant à l’aide de courts textes sur la vie, la mort, le monde et les gens sans oublier la beauté.
    « Toute cette beauté qui nous dépasse !A droite, des peupliers. A l’œil placide, à gauche, des moutons pour l’éternité. »
    Dans « état...
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    La poésie est intemporelle ce recueil le démontre en papillonnant à l’aide de courts textes sur la vie, la mort, le monde et les gens sans oublier la beauté.
    « Toute cette beauté qui nous dépasse !A droite, des peupliers. A l’œil placide, à gauche, des moutons pour l’éternité. »
    Dans « état des cieux », on part à la découverte du ciel dans tous ses états. Qu’il soit gris ou bien « bleu et froid comme un galet trop longtemps poli, » il est immense et porteur d’espérance.
    La nature est très présente, ce sont les liserons et les noisetiers et puis « les prés, champs, épis de blé, petites lumières du vallon » dont se nourrit le poète qui nous dit que « les feuilles ont l’air d’oiseaux (et les oiseaux de feuilles) ».
    Le quotidien s’infiltre entre les lignes, comme le bruit des balles de tennis. Ou bien ces trains qui « caressent les collines comme de longues couleuvres. »
    Le poète consacre quelques pages aux femmes, celle qu’on contemple sur une plage, qu’on croise devant une église et celle qui emplit sa vie, la femme aimée qui emplit la maison et vie
    « J’entends tes pas dans la pièce à côté. Au-dessus de tes pas, il y a tes jambes, tes seins, ton rire. »
    Le recueil se termine sur une note d’espoir :
    « Mais qu’apparaisse un instant une épingle de lumière et je continuerai à marcher, le visage levé vers l’espérance. »
    Une poésie du quotidien qu’on prend plaisir à lire.